Egliose Saint Leubais                   
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                     LIGNOUX René Jean Baptiste :

          Né le 7 novembre 1879 à Perrusson (37).  En 1899, il résidait à Saint Jean Saint Germain, puis depuis le 16 octobre 1904 à Sennevières à la Chataignière (recensement de 1911), dans le ménage de Jubert Auguste (beau-père). Il était gagiste et ouvrier agricole chez les Hardiay.
 
           Fils de Jean Baptiste LIGNOUX et de Marie SABART, domiciliés à Saint Jean Saint Gerlmain.

          Il était marié à Jubert Emélina (1884- ) et avait une fille Arthémise Lignoux (1909 à Sennevières).

           En 1899, il est apte mais dispensé car il est l'ainé d'une fratrie de 7 enfants. Il est incorporé à compter du 14 novembre 1900 et envoyé dans la disponibilité le 23 septembre 1901 avec certificat de bonne conduite. Il a accompli une première période d'exercice dans le 68e RI du 28 mai au 24 juin 1906 et une seconde periode du 19 octobre au 4 novembre 1908. Il passe dans l'armée territoriale le 1er octobre 1913, 46e RIT, 3e compagnie, 4eme bataillon.
          
           Rappelé à l'activité avec la mobilisation générale. Il était militaire de l’armée de terre, son grade était soldat de 2e classe dans le 68e RI. Il faisait partie de la classe 1899. Son bureau de recrutement était Le Blanc (36) et son matricule était le 205. Il arrive au corps le 6 août 1914 et part aux armées le 11 août 1914.

                     Campagne : 
                               Du 6 août 1914 au 12 août 1914 : intérieur (simple)
                               Du 12 août 1914 au 11 mai 1918 : aux armées.

         Mort pour la France, tué à l'ennemi le 11 mai 1918 à Manicamp dans l’aisne (02) à l’âge de 38 ans, 6 mois et 4 jours, sur le champs de bataille des suites de blessures de guerre, il est blessé mortellement à la tête par un éclat d'obus. Son acte de décès a été inscrit le 18 août 1918 à Sennevières.  
                                                
Son nom est gravé sur le monument aux morts.
Il apparait sur la liste du livre d’or de 1929.
Il n’apparait pas sur la 3eme liste.   

                                                   FM à inscrupter x2      lignoux           

                                     lignoux2
                    MALLET Gabriel :

          Né le 24 mai 1891 à Sennevières (37). Il résidait à Sennevièreslors de la mobilisation générale. Il exercé la profession de domestique. Fils de Paul Mallet et de Sabard Marie, domiciliés à Loches. Il n'etait pas marié et n'avait pas d'enfant. Nous savons qu'il savait lire et écrire;

         Il est incorporé à compter du 9 octobre 1912 et arrive au corps le 9 octobre 1912.  Il est parti aux armées le 2 août 1914.
         Il était militaire de l’armée de terre, son grade était soldat 2nde classe dans le 90e Régiment d’infanterie (90e RI). Il faisait partie de la classe 1911. Son bureau de recrutement  était Le Blanc (36) et son matricule était le 1179. Nous savons qu'il a été blessé à l'épaule droite le 7 septembre 1914 à Aulnizeux

                   Campagne :
                            Du 2 août 1914 au 5 mai 1915 : campagne contre l'Allemagne aux armées;

          Mort pour la France le 04 mai 1916 à Esnes-en-Argonne (côte 304) dans la Meuse (55) à l’âge de 24 ans, 11 mois  et 11 jours. Nous savons que son père à reçu une somme de 150 francs pour son décès. Le jugement de son décès a  été rendu par le tribunal de Loches le 6 septembre 1919 et à été transcrit qur les registres de la mairie de Loches.

Son nom est gravé sur le monument aux morts.
Il apparait sur la liste du livre d’or de 1929.
Il apparait sur la 3eme liste.

                 mallet 2                                mallet                                                              
                                         mallet3
          


 
            MARTINAUX Jules :

         Né le 27 mars 1887 (acte de naissance trouvé sur Saint Hippolyte) à Saint Hippolyte (37). Il résidait à Saint Hippolyte. Fils de Martinaux Jules (28 ans et cultivateur) et de Caratis Maris (25 ans et sans profession), demeurant à Saint Hippolyte. Il se marie le 11 juillet 1911 avec Legay Marie à Saint hippolyte. Il était cultivateur.

          Il est incorporé à compter du 7 octobre 1908 et arrive au 79e RI, le 8 octobre 1908 en tant que soldat de 2nd classe. Il est réformé le 4 juin 1909 pour bacillose plmonaire. Sa réforme est maintenue le 3 décembre 1914, mais le 21 mars 1917, il redevient bon pour le service.
         Il est rappelé à l'activité le 23 mai 1917 et arrive au 68 RI, le même jour. Il est condamné à 15 jours de prison et 100 francs d'amende par le tribunal correctionnel de Loches le 6 novembre 1915 pour chasse en temps prohibé. Il est condamné à 16 francs d'amende par le tribunal correctionnel de Loches, le 25 août 1917 pour coups et bris de cloture. Il est condamné le 12 novembre 1917 à deux ans de prison sur appel d'un jugement du tribunal de Loches en date du 6 octobre 1917 pour rébellions, outrages et violences à commandant de la force publique et à gendarmes, commis le 20 septembre 1917. Il est écroué à l'établissemement pénitentiaire mixte de Douéra (?) le 12 mars 1918.

          Il était militaire de l’armée de terre, son grade était 2e classe dans le 68e RI. Il faisait partie de la classe 1907. Son bureau de recrutement était Le Blanc (36) et son matricule était le 819.     
   
                             Campagne : 
                                       Du 23 mai 1917 au 11 mars 1918 : contre l'Allemagne intérieur (simple).

          Mort le 9 septembre 1918 à l'hopital militaire d'Aumale (Algérie?) l’âge de 31 ans.

INTROUVABLE

Son nom est gravé sur le monument aux morts.
Il n’apparait pas sur la liste du livre d’or de 1929.
Il n’apparait pas sur la 3ème liste.

                                                               martinaux 1

 
                    PEGUET Julien Emile René:

          Né le 30 mai 1879 à Genillé (37). En 1899, il résidait à Sennevières et son dernier domicile connu, dès le 5 mars 1913 était Saint Jean Saint Germain.
           Fils de PEGUET René (cultivateur) et NORAIS Rose (cultivatrice), domicilié à Sennevières.
          Il est marié à Garnier Philomène le 28 décembre 1912 à Roches (41).

           En 1899, il est apte pour le service. Il est incorporé à compter du 16 novembre 1900 et arrive au corps le même jour en temps que soldat de 2e classe. Il est envoyé en congés le 23 septembre 1903 avec un certificat de bonne conduite. Il passe dans la réserve en novembre 1903. Il accompli une première période d'exercices au 68eRI du 10 septembre au 6 octobre 1906 et une seconde du 19 octobre au 4 novembre 1908. Il passe dans l'armée térritoriale le 1er octobre 1913.
           Il est rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale. Il était militaire de l’armée de terre, son grade était 2e classe dans le 66e Régiment d’infanterie territoriale (66e RIT), (85e DIT Comby) ( bataillon de chasseurs à pied). Il faisait partie de la classe 1899. Son bureau de recrutement était Le Blanc (36) et son matricule était le 190. Il arrive au corps le 6 août 1914 et arrive aux armées le 11 août 1914.

                     Campagnes : 
                               Du 6 août 1914 au 10 août 1914 : intérieur (simple)
                               Du 10 août 1914 au 4 février 1915 : aux armées.
         
          Mort pour la France, tué à l'ennemi (sur le champs de bataille) le 4 février 1915 à Soissons – Vaux-Coutons - Chemin des Dames dans l’Aisne (02) (nécropole N° D832, commune de Vauxbuin, nécropole nationale carré D, tombe 190) à l’âge de 35 ans, 8 mois et 5 jours. Son acte de décès a été transcrit le 13 septembre 1915 à Sennevières. Y fut témoin Doucet, sergent fourrier au 66e TI demeurant Marolles Les Braults (Sarthes) et ami du défunt et Donneau Louis, sergent au 66e TI demeurant à Beaulieu les Loches et ami du défunt.
            

Son nom est gravé sur le monument aux morts.
Il apparait sur la liste du livre d’or de 1929.
Il n’apparait pas sur la 3eme liste.

Fiche matricule à incruster


                         peguet           peguet 2
          PETITBON Constant Louis Auguste :

         Né le 15 novembre 1897 à Sennevières (37). Il résidait à Sennevières lors du recensement de 1911 à l'Etang. Il était ouvrier agricole chez sa mère.
          Fils de feu PETITBON Louis et de JAMETConstance Joséphine (1866- ), domiciliés à Sennevières au lieu dit de l'étang et était propriétaire exploitant.
          Epoux de Picard Marie Angèle. Nous savons qu'il savait lire et écrire. Nous savons qu'il avait une soeur, Estelle (1897 - )

         Il a été incorporé à compter du 6 octobre 1908  et est arrivé au corps le dit jour. Il arrive comme soldat de 2eme classe et devient soldat de 1ere classe le 1er novembre 1909. Il est réformé temporairement (2eme catégorie) par la commission spéciale de Tours le 9 avril 1910 pour bronchite des sommets. Parti et rayé des contrôles du corps le 10 avril 1910. Il possède un certificat de bonne conduite. Il est propre au service armé d'après la décision en date du 4 février 1911 de la commission spéciale de réforme de Tours. Il est maintenu dans ses foyers en attendant son passage dans la réserve de l'armée active qui aura lieu le 10 avril 1911 (274e RI). Il passe dans la réserve de l'armée active le 10 avril 1911. Du 29 août 1912 au 20 septembre 1912, il appartient à la réserve du 32eme RI.
          Le 15 avril 1914, il est rappelé à l'activité en vertu du décret du 1er août 1914 (mobilisation générale). Il était militaire de l’armée de terre, son grade était soldat de 1ere classe dans le 414e régiment d’infanterie (414e RI), 3e compagnie. Il faisait partie de la classe 1907. Son bureau de recrutement était Le Blanc (36) et son matricule était le 905. Il arrive au corps le 4 août 1914. Nous savons qu'il a été bléssé le 30 janvier 1916 et est parti en renfort le 26 octobre 1916. En permission de 7 jours, il n'a pas rejoint son corps à l'expiration. il est mentionné déserteur le 12 juin 1917. Rayé des contrôles de la désertion le 20 juin 1917 (étant tombé malade en permission). Nous savons que durant la guerre, il a connu plusieurs blessures : Névrite des pieds causée par le froid, plaies par éclats de grenades à la cuisse droite et à la joue gauche. Le 29 janvier 1916, il est dit de lui : "Bon et brave soldat très discipliné manière de servir exemplaire, deux fois bléssés. Il obtient la croix de guerre avec étoile de bronze.

                   Campagnes : 
                             Du  4 août 1914 au 29 janvier 1916 : campagne contre l'Allemagne aux armées.
                             Du 30 janvier 1916 au 25 octobre 1916 : campagne contre l'Allemagne à l'intérieur (double).
                             Du 26 octobre 1916 au 27 septembre 1918 : campagne contre l'Allemagne aux armées.


         Mort pour la France, tué à l'ennemi, le 27 septembre 1918 à à 10 heure du matin, à 300m au sud de la tranchée de Constantinople dans le secteur de Saint Souplet Sur Py dans la Marne (51) à l’âge de 20 ans, 10 mois et 12 jours. Son avis officiel de décès est le E P 28301 datant du 29 octobre 1918.
Pour plus de détails je vous glisse un lien sur le 414ème RI : http://tableaudhonneur.free.fr/414eRI.pdf

Son nom est gravé sur le monument aux morts.
Il apparait sur la liste  du livre d’or de 1929.
Il apparait sur la 3ème liste.

                            petitbon 1                     
petitbon 2     

                                       
petitbon3 
  


 
                    PICHON Jules :

          Né le 28 mars 1874 à Nouans les Fontaines (37). En 1894, il résidait à Nouans jusqu'en 1898. Par la suite, il résidait à Sennevières, aux Bruyères et était journalier (recensement de 1911).
          Fils de feu Jules PICHON (1819-1890) et de CIBEAU Marguerite (1827-1898), domiciliés à Nouans.
          Il s'est marié le 17 juin 1899 à Sennevières avec PINGUET Léontine (22/02/1878 à Sennevières). Nous savons qu'il avait une soeur Delphine Pichon, ainsi que deux fils : Jules (1901 Sennevières - ) et Albert (1906 Sennevières - ).

           En 1894, il est propre au service mais dispensé car soutien de veuve car son frère ainé était impotent. Il est incorporé à compter du 12 novembre 1895 et arrive au corps le même jour. Il est envoyé en congés le 22 septembre 1896. Il accompli une première période d'exercices au 68e RI du 26 août au 22 septembre 1901 et une deuxième du 9 mai au 5 juin 1904. Il effectue une période d'exercices dans le 66eme RIT du 10 mai au 18 mai 1911.
          Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale. Il était militaire de l’armée de terre, son grade était  2e classe dans le 68e régiment d’infanterie (68e RI). Il faisait partie de la classe 1894. Son bureau de recrutement était Le Blanc (36) et son matricule était le 983. Il arrive au corps le 7 août 1914.

                    Campagne : 
                               Du 7 août 1914 au 14 janvier 1915 : contre l'Allemagne.

         Mort pour la France, tué à l'ennemi le 14 janvier 1915 à Zonnebeke (Belgique) (bois de Polygoue) à l’âge de 40 ans, 9 mois et 17 jours, par une bombe. Son décès est transcrit le 27 mai 1916 à sennevières par Loches. Est temoin lors de la transcription, Sourisseau Jean, sous lieutenant au 268e RI (38 ans) et Mouré Georges Capitaine fourrier (25 ans) au 268e RI.

Son nom est gravé sur le monument aux morts.
Il apparait sur la liste du livre d’or de 1929.
Il n’apparait pas sur la 3ème liste.
fiche matricule à incruter.


                   pichon     pichon 1
 
 
 



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