Egliose Saint Leubais                   
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                      DANGE Georges Auguste : 

dangé georges auguste  dangé george auguste 2

           Il ne figure pas sur le recensement de 1911, mais sur celui de Loché sur Indrois.

           Il est né le 17 octobre 1893 à 11h du matin à Sennevières et résidait à Sennevières lors de l'écriture de sa fiche matricule en 1903. Il était domestique de ferme au moins jusqu'en 1911 (à cette date il exercait à Loché sur Indrois chez Mr BERNARD) puis il devient épicier.
          Fils de DANGE Francois Auguste (1859 Chemillé sur Indrois, patron journalier - 1931) et de GUENAND Prudence Clémence (1860 Saint Quentin - 1931), domiciliés à Sennevières à la Robinière.
          Nous savons qu'il avait un frère Marius (1903 Sennevières - ).

          Il se marie le 19 décembre 1916 à Luzillé avec BENOIST Julia.

          Il porte le numéro de matricule 686 du bureau de recrutement du Blanc. Il est incorporé à partir du 28 novembre 1913 et arrive au corps le 28 novembre 1913. Il part aux armées le 2 aout 1914 et devient caporal le 22 mars 1918 puis sergent le 5 mai 1919. Un certificat de bonne conduite lui est accordé.

                               Campagnes
                                         Du 2 août 1914 au 31 août 1919 : Contre l'Allemagne aux armées.

          Nous savons qu'il possédait une citation : "Excellent chasseur, très discipliné, actif et prêt à toutes les besognes difficiles, est resté pendant une heure au point ou il avait été placé en sentinelle alors que les obus de gros calibre et les torpilles pleuvaient autour de lui". Nous savons qu'il a été blessé accidentellement le 6 avril 1916 au cours d'un exercice de grenadiers. Il possède une seconde citation du 30 novembre 1918 " gradé intelligent, consciencieux, dévoué. A fait preuve d'un beau courage et d'un grand sang froid au cours d'une attaque le 24 septembre 1918 dans la conduite de son escadron à la recherche de la liaison avec les unitées voisines".
Il possède la croix de guerre. Il a eut plusieur affectation.
                     4eme bataillon de chasseur à pied
                     26eme bataillon de chasseur à pied (27 novembre 1915)
                     125eme régiment d'infanterie (1 juin 1921)
                     107eme régiment d'infanterie (3 janvier 1924)
                     Centre de mobilisation d'infanterie (no 121) (1 février 1927)
                     sans affectation (1 septembre 1927).
            Il est mis en congé illimité le 1er septembre 1919.


            En 1931, nous savons qu'il était épicier à Genillé.
Nous savons qu'il a fait la seconde guerre mondiale.
            Il décède le 10 mars 1970 à Loches.
                     FOUQUET Désiré

   fouquet desiré 2      fouquet désiré  
  
           Il est né le 30 août 1882 à Sennevières et était cultivateur.
           En 1886, il vivait aux Penets à Sennevières.
           En 1891, il vivait à Saint Jean Saint Germain.
           En 1902, il résidait à Bridoré.
           En 1911, il vivait à Saint Jean Saint Germain.
           
          Fils de FOUQUET Louis et de VIOU Adeline, domicilié à Saint Jean Saint Germain.

          Il est ajourné en 1903 pour faiblesse mais bon pour le service en 1904. Il est dispensé car il est l'ainé de 7 enfants. Il est incorporé à compter du 14 novembre 1904 et arrive au corps le même jour. Il est envoyé dans la disponibilité le 23 septembre 1905 avec un certificat de bonne conduite.
          En 1908, il effectue une première période d'exercice au 68e RI du 25 août au 21 septembre 1908 puis une seconde période du 11 avril au 27 avril 1912.
          Soldat de 2e classe avec pour numéro de matricule numéro 469 du bureau de recrutement du Blanc. Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale et arrive au 68e RI le 11 août 1914. Il part aux armées le 20 septembre 1914. Il devient caporal le 1er janvier 1915.  Il est blessé le 1er février 1915 par éclat d'obus au bras droit et est évacué le 2 février 1915. Il est cité le 25 mars 1915 "en campagne depuis le 20 septembre , s'est toujours gravemement comporté. Blessé d'un éclat d'obus au bras le 1er février a dissimulé la douleur qu'il éprouvait pour ne pas impressionner ses hommes a tenu à serrer la main aux officiers de la compagnie et a repartis entre les hommes de son escouade les vivres administratives et personnels qu'il possédait. Bel exemple". Il repart en renfort le 25 novembre 1915. Il est cité une nouvelle fois le 7 octobre 1918 "caporal calme et plein de sang froid. Le 5 septembre 1918 s'est bravement porté au devant d'une attaque ennemie pour dégager un de ses hommes a fait un officer prisonnier et blessé un soldat allemand". Il possède la croix de guerre et la médaille militaire par décret du 27 juillet 1930 parut au JO du 9 août 1930 paghe 92. Il est mis en congés illimté le 19 mars 1919.

                    Campagne
                               Du 11 août 1914 au 19 septembre 1914 : contre l'Allemagne interieur (simple).
                               Du 20 septembre 1914 au 1er février 1915 : aux armées.
                               Du 2 février 1915 au 24 mars 1915 : intérieur (double).
                               Du 25 novembre 1915 au 18 mars 1919 : aux armées. (passe au 80eRI)

           
           En 1919, il résidait à Verneuil Saint Germain et en 1925 à Saint Jean Saint Germain.

           Le 14 juin 1921, il se marie à Saint Jean Saint Germain avec PASQUIER Anathalie (1898-1984). Ils ont 4 enfants (Désirée, André, Gaston et Roland).

           Le 15 octobre 1931, il est libéré du service militaire et vivait toujours à Saint Jean Saint Germain.
           Nous n'avons aucun renseignement sur sa mort (registres de décès fait à Saint Jean Saint Germain jusqu'en 1952).
                  
                   
 NORAIS Théodore Jules :
        
Né le 19 octobre 1882 à Sennevières et vivait encore au bourg en 1926. Il était épicier cultivateur.
          Fils de NORAIS Théodore (1851- ) et de BAILLE Julie (1840 - ), domiciliés à Sennevières en 1902.

          En 1902, il résidait à Sennevières.

          
          En 1903, il est ajourné pour faiblesse mais est bon pour le service en 1904. Il est incoporé le 16 novembre 1904 en tant que soldat de 2e classe. Il devient soldat de 1ere classe le 29 juin 1905 et caporal le 29 janvier 1906. Il est envoyé en disponibilité le 18 septembre 1906 et passe à la réserve le 1er octobre 1906 avec certificat de bonne conduite. Il effectue une première période d'exercices dans le 90e Régiment d'Infanterie du 27 aout au 18 septembre 1909 puis une seconde dans le 68e Régiment d'infanterie du 11 avril au 27 avril 1912.

           Le 16 avil 1910, il se marie avec CHAUVEAU Marie Louise Eugénie (1892-1962), ils ont une fille Régina Julia (1918-2005).

         Il appartenait à la classe 1902 avec pour matricule le N° 534. Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale et arrive au corps, 68e RI, le 3 août 1914 et est nommé sergent le 29 septembre 1914. Il part aux armées le 15 juin 1915. Il est bléssé le 24 avril 1916 à la côte 304. Blessure à la main par balle. Il est classé dans le service auxiliaire et proposé pour une gratification pour une désarticulation de l'annulaire droit et raideur du médius et de l'auriculaire consécutive à fracture de la 1ere phalange du médius, par la commission de réforme de Châteauroux du 16 janvier 1917. Il est maintenu en service auxiliaire par la commission de réforme de Le Blanc du 21 février 1917 pour même motif. Il est renvoyé dans ses foyers le 27 janvier 1917 et se retire à Sennevières. Promis à une gratification de 268 francs par décision ministérielle du 20 juin 1971 notifiée le 14 juillet 1917. Il est mis en congé illimité le 21 mai 1919.

     Campagnes :
           Du 3 août 1914 au 14 juin 1915 : Intérieur.
                 Le 29 septembre 1914, il est nommé sergent.
           Du 23 juin 1915 au 23 avril 1916 : aux armées.
           Du 24 avril 1916 au 23 avril 1917 : intérieur.
                 Le 24 avril 1916, il est blessé.
                 Le 27 janvier 1917, il est renvoyé dans ses foyers à Sennevières.
           Du 24 avril 1917 au 15 juillet 1917 : intérieur.
   
         
          En 1926, il résidait à Sennevières, au bourg en tant que propriétaire exploitant avec son épouse et leur fille Régina.


          Le 1er mars 1928, il obtient sa carte de combattant N°1118 qui est vérifiée le 23 mars 1934.  

          En 1931, il résidait à Sennevières au bourg, avec sa femme et sa fille Régina. Le 15 octobre 1931, il est libéré du service militaire.
        
          En 1936, il résidait à Sennevières, au bourg avec son épouse et sa fille Régina.
         
          Il est décédé le 
28 septembre 1967 à Genillé.

                    PICHON Anatole Alexandre : 


 pichon anatole   pichon anatole 1  pichon anatole 2
 
           Il est né le 21 janvier 1885 à Loché sur Indrois et était cultivateur. 
           En 1905, il résidait à Verneil sur Indre (Fiche matricule).

           Fils de PICHON Silvain et de MONET Marie louise domiciliés à Verneuil sur Indre. 
    
         Il est incorporé à compter du 6 octobre 1906 en tant que soldat de 2e classe. Nous savons qu'il est réformé le 17 avril 1907 par la commission spéciale du Blanc pour imminence bacillaire.
       Bureau de recrutement du Blanc avec comme numéro de matricule le 228, classe 1905. Il est bon pour le service auxiliaire (rhumatismes), le 3 août 1914. Il arrive au corps, 68e RI, le 24 février 1915. Il est placé dans le service armé (infirmier) par la commission de réforme du Blanc du 15 avril 1915. Il part aux armées d'Orient le 24 janvier 1917. Il tombe malade le 19 août 1917 (Paludisme et entérite) et rentre en France le 25 novembre 1917. Il part au front le 13 juillet 1918 mais contracte une bronchite le 5 décembre 1918. Il est mis en congés illimité le 21 mars 1919.

                  Campagne : 
                             Du 24 février 1915 au 23 janvier 1917 : intérieur simple
                             Du 24 janvier 1917 au 24 novembre 1917 : aux armées d'Orient.
                             Du 24 novembre 1917 au 12 juillet 1918 : intérieur (simple).
                             Du 13 juillet 1918 au 4 décembre 1918 : aux armées.

          
          Le 26 juin 1918, il résidait à Sennevières.
          En 1931, il résidait à Sennevières.
           Aucun renseignement sur son décès sur la commune de Sennevières jusqu'en 1952 et aucun acte de décès depuis 1970.
            PINON Joseph : 

                    pinon joseph     pinon joseph 1
 

           Il est né le 3 octobre 1888 à 11 heures à Sennevières. Il était cultivateur.
           En 1908, il résidait à Orbigny.
  
           Fils de père inconnu et de PINON Marie Eloîse ( - 1867), domestique domiciliée à Sennevières.

           Inscrit au bureau de recrutement du Blanc avec le numéro de matricule 1260. Il est soutien de famille. Il est incorporé à compter du 5 octobre 1910 en tant que soldat de 2e classe et est bon pour une seconde année dans le service auxiliaire. Il est envoyé dans la disponibilité le 25 septembre 1912 avec un certificat de bonne conduite et passe dans la réserve de l'armée active le 1er octobre 1912.

          Le 28 septembre 1913, il résidait à Orbigny.

           Il est rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale et arrive au corps du 68e RI le 3 août 1914 mais est renvoyé dans ses foyers le 29 août 1914 (classé dans le service arme) par la décision de la commission spéciale de réforme du Blanc le 10 novembre 1914. Il retourne au corps le 18 décembre 1914. Il repart aux armées le 18 mai 1915. Blessé le 22 avril 1916 à Verdun, par un éclat d'obus au cuir chevelu. Le 23 avril 1916, il est évacué blessé. Il repart au front le 12 novembre 1916. IUne nouvelle fois bléssé le 5 avril 1918 à Rouvrel, commotion avec perforation par un éclat d'obus. Il est fait prisonnier le 14 septembre 1918 à Vauxailles dans l'Aisne (avis officiel du 24 octobre 1918) et est rapatrié le 19 novembre 1918. Il est mis en congé illimité le 26 juillet 1919 au 7e échelon.

                     Campagnes
                              Du 18 décembre 1914 au 17 mai 1915 :intérieur (simple)
                               Du 18 mai 1915 au 22 avril 1916 : aux armées.
                               Du 23 avril 1916 au 11 novembre 1916 : intérieur (double).
                               Du 12 novembre 1916 au 14 septembre 1918 : aux armées
                               Du 15 septembre 1918 au 19 novembre 1918 : prisonnier en captivité.
                               Du 20 novembre 1918 au 25 juillet 1919 : intérieur (simple)

          Il est cité le 2 mai 1918 "ce fusilier mitrailleur plein de courage a été pour ses camarades un bel exemple de sang froid au cours de l'attaque du 5 avril 1918 a été blessé."
           Il a la croix de guerre et la médaille militaire (1933).


           Le 26 juillet 1919, il était domicilié à Genilllé.
           Le 1 janvier 1924, il résidait à Nouans.     
                             
           PINON Etienne : 
 
                     pinon etienne 2

           Il est né le 12 novembre 1872 à Francueil (37) et était cultivateur.
           Fils de PINON Etienne et de DELALEU Désiré, domiciliés à Francueil.
           En 1892, il résidait à Civray sur Cher
           En 1911, il habitait à Sennevières (recensement).

          Apte au service armé en 1892. Il est condamné le 4 mars 1893 à quatre mois de prison pour vol. Il est parti le 16 novembre 1893 comme appelé à l'activité et arrive au corps le 3 janvier 1894.
                     Campagnes
                               Du 28 novembre 1893 au 3 mars 1894 en Algérie 
                               Du 4 mars au 9 août 1895 dans le régiment saharien.
                               Du 10 août 1895 au 5 juin 1896 dans le régiment saharien.
          Il est réformé par la commission spéciale d'Alger le 6 juin 1896 pour gangrène des deux régions plamaires, cicatrices vicieuses, déformations extrêmes des deux mains, tutoplasties.

           Il est condamné le 2 mars 1901 à huit mois de prison et 100 francs d'amende par le tribunal de Tours pour chasse à l'aide d'engins prohibés, violence et voie de fait à garde particulier, outrages par paroles et menaces à gardes particuliers dans l'exercice de leur fonction, vagabondage et rebellion. Condamné par arrêt de la cour d'appel d'Orléans le 5 août 1902 à 3 mois de prison et 5 francs d'amende pour outrages à agents, bris de cloture et ivresse. Condamné par arrêt contradictoire de la cour d'appel d'Orléans du 22 octobre 1903 à un an de prison et à 16 francs d'amende pour chasse, menaces et violences à garde. Condamné par la même cour le 26 janvier 1904 à 4 mois de prison et 400francs d'amende pour chasse avec engins prohibés. Condamné par arrêt contradictoire de la cour d'appel le 26 janvier 1904 à 2 mois de prison et 200francs d'amende pour chasse avec engins prohibés et colportage de gibier en temps prohibé. Condamné le 11 décembre 1907, par le tribunal correctionnel de Châteauroux, à cent francs d'amende et confiscation, pour chasse à l'aide d'engins prohibés.

           Sur sa fiche matricule, aucune mention n'est faite sur la guerre 14-18.
           En 1921, il n'est plus sur le recensement de Sennevières.
             
                      POITEVIN Eusèbe : 


                               Poitevin Eusebe1       poitevin eusebe 5
           
           Il est né 7 mars 1876 à Fléré la Rivière.  Il était métayer.
           Fils de POITEVIN Jean et de BIDAULT Marie, domiciliés à Fléré la Rivière.
           En 1896, il résidait à Fléré la Rivière.
          
 Il est incorporé à compter du 13 novembre 1897 et arrive au corps en temps que soldat de 2e classe. Il est envoyé dans la disponibilité le 17 septembre 1898, avec certificat de bonne conduite. Il accompli une première période d'exercice dans le 68e RI du 24 août au 20 septembre 1903 puis une seconde du 20 août au 16 septembre 1906. Il accompli une autre période d'exercices du 10 au 18 avril 1913, au 66e RI.
           En 1899, il réside à Loches.
           En 1901, il réside à Sennevières.
           Le 10 novembre 1902, i
l se mari avec BODART Marie Louise (1877 à Loché-1938) à Sennevières.Ils avaient pour enfant : Olga (1903 à Sennevières - ), Remy (1904 à Loché -), André (1907 à Loché- ).

           En 1904, il résidait à Loché sur Indrois.
           En 1911,  il résidait à Sennevières, aux Bruyères (recensement).

           Inscrit au bureau de recrutement du Blanc avec le matricule 766. Il est rappelé à l'activité par la mobilisation générale et arrive au corps  du 46e RI, le 7 août 1914. Il part aux armées le 12 août 1914 et rentre au dépot le 21 novembre 1918. Il est mis en congé illimité le 14 janvier 1919. Il est libéré du service militaire le 10 novembre 1925. 46e RI dans l'armée active puis 66e RTI, puis dès le 3 aout 1917 dans le 136e RTI, puis dès le 15 novembre 1918 dans le 5e Régiment du Génie et enfin dans le 90 RTdu Génie au 1 juin 1921.

                     Campagne
                               Du 7 août 1914 au 11 août 1914 : intérieur (simple)
                               Du 12 août 1914 au 20 novembre 1918 : aux armées.
                               Du 21 novembre 1918 au 13 janvier 1919 : intérieur (simple)

           
           
 
 



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