Egliose Saint Leubais                   
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  benoist ernest
BENOIST (BENOIT) Ernest Paul Julien : 

Né le 12 mars 1891 à Genillé, à 2h du matin. Il était régisseur., employé aux chemins de fer.

          Fils de Benoit Joseph (1854 - ), journalier et de Marinier Augustine (1861 - ), ménagère, domiciliés à Genillé en 1911.

          En 1911, il résidait à Sennevières aux Moreaux en tant que domestique, ouvrier agricole chez Mr Aubry Alexandre.

          Il appartient à la classe 1911 avec pour matricule le N° 1231. Il est incorporé à compter du 1er octobre 1912, au 14e Régiment de Dragons. Il part aux armées le 2 août 1914. Il est évacué malade le 9 octobre 1918. Il est mis à la disposition de la compagnie (du chemin de fer) de Paris Orléans, à Tours dès le 18 décembre 1918. Il est classé affecté spécial : 3eme section de chemins de fer de campagne comme employé permanent de la compagnie des chemins de fer d'Orléans en qualité d'homme d'équipe à Tours le 2 février 1919. Il est rayé de l'affectation spéciale le 22 août 1922. Il possède un certificat de bonne conduite.

      Campagnes
                 Du 2 août 1914 au 18 octobre 1918 : aux armées.
                           Le 9 octobre 1918, il est évacué malade : grippe.
                 Du 19 octobre 1918 au 16 août 1919 : intérieur (simple)
                           Compagnie des chemins de fer.


          Le 26 avril 1919, il se marie à Genillé avec Desnone Clotilde Marie (10 juin 1899 Loché sur Indrois - ).
          En 1922, il résiadit à Loché.

          En 1925, il résidait à Loches, rue Piçois.

          En 1926, il résidait à Chanceaux près Loches, au May.

          En 1931, il résidait à Chanceaux près Loches, au May, avec sa femme et était garde régisseur.

          En 1936, il résidait à Chanceaux près Loches, au May, avec sa femme et était garde chasse.

         Pas DCD sur Chanceaux de 1923 à 1952. Pas de traces sur les tables de successions jusqu'en 1959.
      berger jules
BERGER Jules : 

Né le 23 mai 1881 à 7 heure du soir à Saint Genou (36). Il était cultivateur.

          Fils de Berger Pierre (1851- ) et de Paillisson Madeleine (1853 - ), résidant à Saint Genou en 1901. Il avait une soeur Marie (1886- ).

          En 1901, il résidait à Saint Genou.

          Il est incorporé au 76e Régiment d'infanterie à compter du 15 novembre 1902 et arrive en tant que soldat de 2e classe. Il a accompli un stage au 5e escadron du train des équipages militaires du 10 juin au 19 juillet 1903. Il passe 1ere classe le 1er mars 1905. Il est envoyé dans la disponibilité le 23 septembre 1905, avec le certificat de bonne conduite. Il passe dans la réserve de l'armée active le 1er novembre 1905.

          Le 1er décembre 1906, il se marie avec Berrué Victorine Hélène (1883 Sennevières -1926 Sennevières). Et ont une fille Thérèse Célestine Julia (1908 Beaulieu, couturière patronne - ) et une fils Claude (1910 Loches, ouvrier charpentier - ).

          En 1908, il résidait à Loches.

          Il effectue une période d'exercices au 90e RI du 27 août au 18 septembre 1909.

          Il effectue une période d'exercice au 90e RI du ? au 22 juin 1911.

          Sur sa fiche matricule est mentionné qu'il avait deux enfants.

          Il appartenai à la classe 1901 avec pour matricule le N° 358. Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale et arrive au corps le 12 août 1914. Il part aux armées avec le 290e RI le 25 septembre 1914. Il est blessé, le 9 décembre 1915 à Loos "plaie à la jambe gauche partie moyenne, face externe, à la cuisse droite, au coude gauche, à la base du thorax par un éclat d'obus". Il rentre au dépôt le 14 mai 1916. Il repart aux armées avec le 239e RI, le 13 novembre 1916 et passe au 297e RI le 20 novembre 1917. Il est envoyé en congé illimité de démobilisation le 15 février 1919 et se retire à Sennevières. Il est affecté à la réserve au 90e RI. Il passe, par changement de domicile,dans la subdivision du Blanc le 20 août 1924.

     Campagnes
          Du 12 septembre 1914 au 25 septembre 1914 : intérieur.
          Du 26 septembre 1914 au 9 décembre 1915 : aux armées.
                 Il part avec le 290e RI. 
                 Le 9 décrembre 1915, il est blessé
          Du 11 décembre 1915 au 8 septembre 1916 : intérieur (double).
          Du 9 septembre 1916 au 12 novembre 1916 : intérieur (simple).
          Du 13 novembre 1916 au 15 février 1919 : aux armées.
                 Il passe au 239e RI le 13 novembre 1916.
                 Il passe au 297e RI le 20 novembre 1917.

          Il est cité à l'ordre de la brigade N°12 du 24 décembre 1915. "Parti en campagne depuis le début de la campagne a assisté à toutes les affaires auxquelles à pris part le régiment. Grièvement blessé par éclat d'obus en exécutant en 1ere ligne un travail urgent qu'il n'a pas interrompu malgré un violent bombardement d'artillerie de gros qualibre".
                 Croix de guerre.

            
          En 1921, il résidait à Sennevières, au bourg en tant que charpentier, avec sa femme Berruer Victorine .

          En 1924, il résidait à Sennevières.

          En 1926, il résidait à Sennevières, au bourg en tant que patron charpentier, avec sa femme, leur fille Thérèse et leur fils Claude.

          Le 10 mai 1930, il obtient sa carte d'ancien combattant.

          En 1931, il résidait à Sennevières, au bourg, il était veuf et vivait avec sa fille Thérèse et son fils Claude.

          En 1936, il résidait à Sennevières, au bourg, en tant que propriétaire exploitant avec son fils Claude qui est devenu tonnelier. (Sa fille ayant épousé Baillarger Lucien et demeurant au bourg de Sennevières).

          Le 30 avril 1938, il se remarie à Sennevières avec Michaud Maria Augustine (13/12/1886 Sennevières - 20/11/1941 Sennevières (veuve en 1912).

          Pas de mention de DC sur la commune de Sennevières jusqu'en 1952 ni sur les tables de succession jusqu'en 1956. Pas de trace sur l'INSEE depuis 1970.
      berruet rené
BERRUET René : 

Né le 9 janvier 1892 à Chemillé sur Indrois.Il était cultivateur.

          Fils de Berruet Pierre Désiré (11 décembre 1855 Châtillon - 1934) et Crocheton Josephine (3 mai 1860 Laleu 41 - 10 novembre 1915 Sennevières). Domiciliés à Loché sur Indrois en 1912Il avait pour fères et soeur : Pierre Joseph (1882-1930), Victor Auguste (1884-1956)*, Adrien Auguste (1890-1859), Joseph Louis (1888-1917), Charles Constant (1897-1918)*, Renée Marie (1893-1955), Adrienne Marie (1893- ), Marie Jeanne (1895-1991), Marie Lucie (1900-1992).

          En 1912, il résidait à Genillé.

          Il est incorporé à compter du 9 octobre 1913.

          Il appartenait à la classe 1912 avec pour matricule le N°695. Il part aux armées le 2 août 1914 avec le 170e Régiment d'infanterie en tant que soldat 2e classe. Nous savons qu'il a été blessé deux fois : une fois par balle au cuir chevelu et une autre fois au genou gauche. Mais sa fiche matricule ne précise pas la date. Il est fait prisonnier le 4 mai 1916 et est interné à Hameln. Il est rapatrié le 21 décembre 1918. Il est mis en congé illimité le 16 août 1919 au 7e échelon N°214 au dépôt de mobilisation 88e Infanterie. Il est libéré de toute obligation militaire le 15 décembre 1932 car il est père de 6 enfants vivants. 

      Campagnes
          Du 2 août 1914 au 4 mars 1916 : aux armées.
          Du 5 mars 1916 au 20 décembre 1918 : en captivité.
          Du 21 décembre 1918 au 15 août 1919 : intérieur (simple).
                 Le 20 février 1919, il passe au 68e Régiment d'infanterie.


          En 1919 (16 août), il résidait à Sennevières.

          En 1919 (25 novembre 1919), il résidait à Chemillé.

          Le 16 juin 1923, il épouse à Genillé, Guimper Gabrielle Marie. Nous savons, par sa fiche matricule qu'il avait 6 enfants vivants en 1932.

          En 1925, il résidait à Nouans.

          En 1926, il résidait à Chemillé.
 
          En 1927, il résidait à Chanceaux près Loches.

          Le 15 mars 1929, il obtient sa carte de combattant N° 3141 (aucune trace).

          En 1931, il résidait à Genillé.

          Le 1er août 1963, il obtient une attestation de captivité à l'office départemental des AC et VG (?) de Tours.

          Il décède le 12 janvier 1967, à l'age de 75 ans à Villeloin Coulangé.
        berton joseph
BERTON Joseph Gustave : 

Né le 31 juillet 1875  à Esvres Les Moutiers. Il était maréchal.

          Fils de Berton Charles (1849, rentier - ) et de Bonnefoy Adeline (1849 - avant 1925), domiciliés à Esvres les Moutiers en 1895. Ils avait pour frères : Charles Armand (1874- ), Constant Eugènes (1879 - ) et Gustave.

          En 1895, il résidait à Saint Senoch.

          En 1896, en 1897 et 1898, il ajourné pour défaut de taille (1m50).

          Le 1er novembre 1899, il passe dans la réserve de l'armée active.

          En 1901 (10 mars), il résidait à Sennevières.

          Le 21 janvier 1901, il épouse à Sennevières Chabrier Emilie Clémentine (1881 Sennevières -  épicière). Ils ont pour enfants : Thérèse Victoire (1903 Sennevières -1953), Marc (1906 - ), Odette (1908 Sennevières -1934), Paulette (1912 Sennevières - ), Guy Claude ( - ), et Christian Raymond (1914-1914).

          En 1911, il résidait à Sennevières, au bourg avec son épouse, ses filles Victoire et Odette.

          Il appartenait à la classe 1895 (territoriale) avec pour matricule le N°399. Il est réquisitionné du 4 au 5 août 1914. Il est classé dans le service armé par la décision de la commission spéciale du Blanc dans la séance du 24 novembre 1914. Il est rappelé à l'activité par la mobilisation générale et arrive au corps  du 66e régiment territorial d'infanterie le 8 janvier 1915. Il est renvoyé dans ses foyers, étant placé en sursis d'appel jusqu'au 31 octobre 1915 en tant que maréchal à Sennevières. Il est attaché à l'entrepot de réserve d'Angers. Son sursis est annulé. Il est renvoyé dans ses foyers étant placé en sursis d'appel jusqu'au 30 novembre 1916 comme maréchal à Sennevières. Son sursis est annulé le 21 novembre 1916. Il est renvoyé dans ses foyers étant placé en sursis d'appel jusqu'au 28 février 1917 le 26 novembre 1916 car maréchal férrent à Sennevières, sursis annulé le 7 décembre 1916. Il est placé en sursis d'appel jusqu'au 30 avril 1918 comme maréchal à Sennevières suivant l'avis du général en chef du 16 février 1918, le sursis est annulé le 16 mars 1918. Il est placé en sursis d'appel jusqu'au 1er juillet 1918 au titre de maréchal à Sennevières le 26 avril 1918. Il part en sursis le 4 mai 1918, sursis prolongé jusqu'au 15 juillet 1918 le 29 juin 1918. Sursis prolongé jusqu'au 31 juillet 1918 le 12 juillet 1918. A rejoint le dépot du 33e Régiment d'Artillerie le 1er août 1918. Il est mis en congé illimité le 13 janvier 1919 au 1er échelon N°1436, dépôt mobilisateur : 20e Régiment d'artillerie.

     Campagnes
          Du 8 janvier 1915 au 31 juillet 1916 : intérieur (simple).
                 Le 31 janvier 1916, il passe au 135e régiment d'infanterie.
          Du 1er août 1916 au 12 janvier 1919 : intérieur (simple).
                 Le 4 janvier 1917, il passe au 33e régiment d'artillerie.


           
          En 1921, il résidait à Sennevières, au bourg, avec son épouse et ses enfants : Victoire, Odette, Paulette et deux ouvrier maréchal.

          Le 10 novembre 1924, il est libéré du service militaire.

          En 1925, il résidait à Sennevières.

          Il décède le 11 juin 1925, à l'age de 49 ans à Sennevières.
      bidault alphonse

bidault alphonse 3
BIDAULT Alphonse : 

Né le 9 août 1876 à Chatillon sur Indre. Il était journalier.

          Fils de Bidault Jean (1845 Châtillon sur Indre - 1925 Loches) et de Mercier Françoise (1850-1921), résidants à Sennevières en 1896. Il avait deux frères : Alexandre (1873-1917) et Georges (1884- ) peut etre Joseph (1885- ) ou idem que Georges.

          En 1896, il résidait à Sennevières, au Bas Puits (nom de famille Bidot), chez ses parents Jean et Françoise avec son frère Joseph.

          Il est incorporé à compter du 15 octobre 1897 en tant que soldat de 2e classe. Il est envoyé dans la disponibilité le 17 septembre 1898. Il possède son certificat de bonne conduite. Il passe dans la réserve le 1er octobre 1900. Il effectue une période d'exercices dans le 68e Régiment d'infanterie du 24 août au 20 septembre 1903, puis une seconde du 20 août au 16 septembre 1906. Il effectue une autre période d'exercices au 68e RI du 10 au 18 avril 1913. 

          Le 7 novembre 1904, il épouse à Saint Jean Saint Germain, Pasquier Marie (1887 Châteauroux - ). Ils ont pour enfants : Marcel (1907 Saint Jean - ) et Jeanne (1910 Sennevières - ).

          Il appartenait à la classe 1896 avec pour matricule le N° 1120 et fait partie de la térritoriale. Il arrive au corps le 7 août 1914. Il part aux armées le 11 août 1914 avec le 66e régiment territorial d'infanterie. Il est mis en congé illimité le 24 janvier 1919, 2e échelon N°248. Son dépôt démobilisateur est le 68e Régiment d'infanterie.

      Campagnes
          Du 7 août 1914 au 10 août 1914 : intérieur (simple).
          Du 11 août 1914 au 23 janvier 1919 : aux armées.
                 Le 25 juin 1918, il passe au 74e Régiment territorial d'infanterie.

          Il est cité à l'ordre du régiment N°303 du 21 juin 1918 "Blessé en 1915. Gradé energique et courageux. Belle tenue au feu".
          Croix de guerre.


          En 1911, il résidait à Sennevières aux Bas Puits, chez ses parents Jean et Françoise, avec sa femme Marie, son fils Marcel et sa fille Jeanne 

          En 1919, il résidait à Saint Jean Saint Germain.

          Il décède le 31 Juillet 1924 à l'âge de 48 ans, à Tours (2 boulevard Tonnellé). Sur l'acte de décès il est mentionné qu'il était domicilié à Sennevières.

          
 
 



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