BERGER Jules :
Né le
23 mai 1881 à 7 heure du soir à Saint Genou (36). Il était cultivateur.
Fils de Berger Pierre (1851- ) et de Paillisson Madeleine (1853 - ), résidant à Saint Genou en 1901. Il avait une soeur Marie (1886- ).
En 1901, il résidait à Saint Genou.
Il est incorporé au 76e Régiment d'infanterie à compter du 15 novembre 1902 et arrive en tant que soldat de 2e classe. Il a accompli un stage au 5e escadron du train des équipages militaires du 10 juin au 19 juillet 1903. Il passe 1ere classe le 1er mars 1905. Il est envoyé dans la disponibilité le 23 septembre 1905, avec le certificat de bonne conduite. Il passe dans la réserve de l'armée active le 1er novembre 1905.
Le 1er décembre 1906, il se marie avec Berrué Victorine Hélène (1883 Sennevières -1926 Sennevières). Et ont une fille Thérèse Célestine Julia (1908 Beaulieu, couturière patronne - ) et une fils Claude (1910 Loches, ouvrier charpentier - ).
En 1908, il résidait à Loches.
Il effectue une période d'exercices au 90e RI du 27 août au 18 septembre 1909.
Il effectue une période d'exercice au 90e RI du ? au 22 juin 1911.
Sur sa fiche matricule est mentionné qu'il avait deux enfants.
Il appartenai à la classe 1901 avec pour matricule le N° 358. Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale et arrive au corps le 12 août 1914. Il part aux armées avec le 290e RI le 25 septembre 1914. Il est blessé, le 9 décembre 1915 à Loos "plaie à la jambe gauche partie moyenne, face externe, à la cuisse droite, au coude gauche, à la base du thorax par un éclat d'obus". Il rentre au dépôt le 14 mai 1916. Il repart aux armées avec le 239e RI, le 13 novembre 1916 et passe au 297e RI le 20 novembre 1917. Il est envoyé en congé illimité de démobilisation le 15 février 1919 et se retire à Sennevières. Il est affecté à la réserve au 90e RI. Il passe, par changement de domicile,dans la subdivision du Blanc le 20 août 1924.
Campagnes :
Du 12 septembre 1914 au 25 septembre 1914 : intérieur.
Du 26 septembre 1914 au 9 décembre 1915 : aux armées.
Il part avec le 290e RI.
Le 9 décrembre 1915, il est blessé
Du 11 décembre 1915 au 8 septembre 1916 : intérieur (double).
Du 9 septembre 1916 au 12 novembre 1916 : intérieur (simple).
Du 13 novembre 1916 au 15 février 1919 : aux armées.
Il passe au 239e RI le 13 novembre 1916.
Il passe au 297e RI le 20 novembre 1917.
Il est cité à l'ordre de la brigade N°12 du 24 décembre 1915. "Parti en campagne depuis le début de la campagne a assisté à toutes les affaires auxquelles à pris part le régiment. Grièvement blessé par éclat d'obus en exécutant en 1ere ligne un travail urgent qu'il n'a pas interrompu malgré un violent bombardement d'artillerie de gros qualibre".
Croix de guerre. En 1921, il résidait à Sennevières, au bourg en tant que charpentier, avec sa femme Berruer Victorine .
En 1924, il résidait à Sennevières.
En 1926, il résidait à Sennevières, au bourg en tant que patron charpentier, avec sa femme, leur fille Thérèse et leur fils Claude.
Le 10 mai 1930, il obtient sa carte d'ancien combattant.
En 1931, il résidait à Sennevières, au bourg, il était veuf et vivait avec sa fille Thérèse et son fils Claude.
En 1936, il résidait à Sennevières, au bourg, en tant que propriétaire exploitant avec son fils Claude qui est devenu tonnelier. (Sa fille ayant épousé Baillarger Lucien et demeurant au bourg de Sennevières).
Le 30 avril 1938, il se remarie à Sennevières avec Michaud Maria Augustine (13/12/1886 Sennevières - 20/11/1941 Sennevières (veuve en 1912).
Pas de mention de DC sur la commune de Sennevières jusqu'en 1952 ni sur les tables de succession jusqu'en 1956. Pas de trace sur l'INSEE depuis 1970.