Egliose Saint Leubais                   
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                        DENONNAIN Constant : 

                               denonnain constant     denonnain constant 5

         Il est né le 3 octobre 1870 à Saint Jean Saint Germain. En 1890, il vivait encore à Saint Jean Saint Germain. Il était cultivateur. En 1896, il vivait au Bray avec sa femme, ainsi qu'en 1911 et un domestique Henri BRAULT. En 1931, il vivait à Sennevières d'après sa carte d'ancien combattant. En 1936, il vivait toujours au Bray avec sa seconde femme. (nous n'avons plus de recencement après 1936...)

         Fils de feu DENONNAIN François et de FRAPPIER Amélie, vivant à Saint Jean Saint Germain.

         Il épouse GUERIN Marie Julie le 8 Juillet 1895 à Sennevières (1876-28/12/1921).
         Il a pour seconde femme BOURREAU Julia (14 septembre 1890 à Sennevières - 5 juin 1991 à Loches), il se marie le 21 janvier 1924 à Sennevières, avec qui il a un fils Robert (1924 Sennevières - ).

         En 1890, il est apte au service. Il se met en route le 12 novembre 1891, pour le service militaire et arrive au corps le 13 novembre 1891 en tant que soldat de 2e classe. Il est envoyé en congé le 25 septembre 1894 en attendant son passage dans la réserve de l'armée actove qui a lieu le 1er novembre 1894. Il accompli un première période d'exercice dans le 268e RI du 27 septembre au 24 octobre 1897 et une seconde dans le 68e RI du 27 août au 23 septembre 1900. Il passe dans l'armée territoriale le 1er novembre 1904. Il a fait une nouvelle période d'exercices au 66e RI du 28 octobre au 10 novembre 1907.

         Soldat de la classe 1890 avec pour numéro de matricule le 1352 du bureau de recrutement du Blanc. Il est rappelé pour la mobilisation générale et arrive au corps le 27 février 1915. Il est requisitionné du 6 au 8 août 1914. Il est détaché le 20 juillet 1917 pour travaux à Sennevières (catégorie A). Il est libéré du service militaire le 10 décembre 1918. Nous savons qu'il a débuté dans le 66e RI, qu'il passe au 9e régiment territorial d'infanterie le 29 novembre 1915, puis au 5e régiment de Génie le 31 mars 1917 puis au 66e RI le 10 novembre 1917.

                   Campagne :
                              Du 5 août 1914 au 8 août 1914 : contre l'Allemagne.
                              Du 27 février 1915 au 20 juillet 1917 : contre l'Allemagne.


          Il est décédé le 24 janvier 1941 à Sennevières.

                                         denonnain 3
       
                     DESPERCHES Ferdinand Auguste Elie :  

                               desperches ferdinand         

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           Il est né le 3 mai 1881 à Sennevières. En 1901, il résidait à Sennevières. En 1911, il résidait à la Pinonnière (patron métayer) avec sa femme, leur fille et deux domestiques. En 1930, il résidait à Sennevières. Il était cultivateur.

           Fils de DESPERCHES Auguste et de CHAZELLES Elise., domiciliés à Sennevières

           Frère de DESPERCHES Arthur Silvain, Etienne, mort pour la France.

           Il épouse GABILLON Julie Joséphine (22/05/1888 - ), le 21 septembre 1907 à Sennevières. Ils ont pour fille : Bernadette Fernande Marguerite ( -21/03/1928).
 
          En 1901, il était apte pour le service. Il est incoporé à compter du 16 novembre 1902 et arrive au corps comme soldat de 2e classe, il devient caporal conducteur le 17 septembre 1905. Il est envoyé dans la disponibilité le 23 septembre 1905 avec un certificat de bonne conduite. Il accomplie une première période d'exercices dans le 68e RI du 4 avril au 26 avril 1908 et une seconde période du 10 novembre au 26 novembre 1908.
          Il appartient au bureau de recrutement du Blanc avec comme numéro de matricule : 1266. Il est rappelé lors de la mobilisation générale et arrive au corps du 77e RI le 3 août 1914. Il part aux armées le 11 août 1914. Il est nommé sergent le 2 septembre 1914. Il tombe malade le 24 août 1915 (contusion lombaire endocerdyte). Il est déclaré inapte et proposé pour un changement d'arme, train, pour Tachycardie hypertension artérielle, hyperthyroidie et passe en commission le 17 février 1917. Il part en renfort le 9 mars 1918. Il est classé en service auxiliaire par décision de la commission spéciale le 10 décembre 1918 pour tachycardie permanente avec épreuves fonctionnelles du coeur médiocre. Il se retire à Sennevières. Il est mis en congés illimités le 26 février 1919.

                   Campagnes : 
                             Du 11 aout 1914 au 23 aout 1915 : aux armées.
                             Du 24 août 1915 au 8 mars 1918 : intérieur simple
                             Du 9 mars 1918 au 15 mars 1918 : aux armées
                             Du 16 mars 1918 au 25 février 1919 : intérieur simple
            

           Il décède en 1970 à Sennevières.

                                        desperches ferdiand2
 
                     DUBOIS Sylvain : 

                              dubois sylvain dubois sylvain 1

           Il né le 22 mai 1877 à Villedomain et était cultivateur. 
           
           Fils de DUBOIS Sylvain et de HERAULT Marie, domiciliés à Villedomain.
    
           En 1897, il résidait à Villedomain.

           Il épouse BODARD Emilie Renée le 23 avril 1904 à Sennevières.

           Bureau de recrutement du Blanc numéro de matricule 1534. Il est incorporé à compter du 16 novembre 1898, il arrive au corps en tant que soldat de 2e classe. Il est envoyé en disponibilité le 21 septembre 1901 avec un certificat de bonne conduite. Il accompli plusieur périodes d'exercices : du 22 août au 18 septembre 1904 et du 19 août au 14 septembre 1907 dans le 68e RI, puis du 12 novembre au 20 novemnre 1913 dans le 66e RTI.

           En 1911, il résidait aux Vallières à Sennevières (recensement), avec sa femme et sa belle mère.

           Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale et arrive au 66e RTI le 6 août 1914. Il part aux armées le 12 août 1914. Il est mis en congé illimité le 1er février 1919.

                     Campagne
                               Du 6 août 1914 au 11 août 1914 : intérieur (simple).
                               Du 12 août 1914 au 31 janvier 1919 : aux armées. 


           En 1921, il résidait aux Vallières avec sa femme, sa belle mère et une domestique.
           En 1931, il résidait aux Vallières avec sa femme et une domestique.
           En 1936, il résidait aux Vallières avec sa femme.
           
           Nous perdons sa trace après 1936.

                         GIRAULT Etienne Moîse  

:                          girault etienne 2   girault etienne 10

           Il est né le 11 décembre 1872 à Lye (36). Il était cultivateur. 

           Fils de GIRAULT Etienne (1841-1916) et de MANDARD Sophie (1845-1907), vigneron de leur état, domiciliés à Loché.
           
           En 1892, il résidait à Loché.
           En 1894, il habitait à Saint Jean Saint Germain.
           En 1897, il résidait à Dolus.

          
           Le 14 juin 1898, il se marie à TAUPIN Célestine Renée (1872-1947) à Verneuil sur Indre.
           En 1899, il résidait à Perrusson.

           En 1892, il est propre au service mais dispensé du fait qu'il soit l'ainé de 8 enfants. Il est incorporé à partir du 11 novembre 1893 et arrive au corps en temps que soldat de 2e classe. Il est envoyé en congé le 25 septembre 1894 en attendant son passage dans la réserve de l'armée active qui aura lieu le 1er novembre 1896 avec un certificat de bonne conduite. Il accompli deux périodes d'exercices au 68e RI du 24 août au 13 septembre 1899 puis du 25 août au 21 septembre 1902. Puis une période d'exercice au 66e RTI du 1er au 9 avril 1909.
           

           Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale. Soldat du bureau de recrutement du Blanc, numéro de matricule 961. Il arrive au corps du 72e RIT le 7 décembre 1914, puis passe au 276e RI (1916), puis de la 10e section d'infirmier militaire (14/02/1917) puis du 93e RI (28 mars 1918) et du 42e RIT (19 septembre 1918). Il est mis en congé illimité le 28 juillet 1919.
 
                     Campagne
                               Du 7 décembre 1914 au 27 janvier 1919 : contre l'Allemagne.


           En 1919, il résidait à Sennevières. (n'est pas sur le recensement de 1911 ni sur celui de 1921).
           En 1930, il résidait à Loches
           Il est décédé le 4 décembre 1944 à Loches.



                     GIRAULT Ludovic Marie Moïse: 

                               
girault ludovic 20  girault ludovic 30
  
           Il est né le 13 décembre 1876 à Sennevières (37). Il était aubergiste.
 
           En 1896, il était domicilié à Sennevières.


           Fils de GIRAULT Moïse (1849-1934) et de feu TAUPIN Marie Octavie (1848-1888), cultuvateur, domiciliés à Sennevières. Frère de GIRAULT Hector Gaston Leubé et de GIRAULT Ferdinand Lazare, tout deux mort durant la guerre. Et frère de Daniel Arthur Cyprien GIRAULT, soldat.

           Le 10 août 1901, il se marie avec PRIEUR Marie-Joséphine (1883-1967) à Loches. Ils ont pour enfant Robert (1910-1975).
           En 1902, il résidait à Truyes.
           En 1905, il résidait à Saint Jean Saint Germain.


           En 1876, il est mis dans le service auxiliaire du a une pointe de hernie à droite. Soldat à la 2e section d'infirmier militaire avec pour numéro de matricule 1097, du bureau de recrutement du Blanc. En 1914, il est maintenu dans le service auxiliaire. Il est requisitionné du 3 au 6 août 1914. Il est  rappelé au service à la date du 13 octobre 1915 (immédiatement et sans délai). Il arrive au corps le 16 octobre 1915. Il est détaché aux travaux agricoles le 5 décembre 1917 à Sennevières. Il est mis en congé illimité le 7 février 1919.

                     Campagne
                               Du 16 octobre 1915 au 5 décembre 1917 : intérieur (simple).


           En 1919, il résidait à Sennevières.
           En 1921, il résidait à Sennevières, aux Penêts en tant que propriétaire exploitant, avec sa femme, son fils Robert (1910-) et sa belle mère (Fouquet veuve Prieur Constance).
           En 1926, il résidait aux Penêts avec sa femme, son fils et sa belle mère.
           




                     GIRAULT Daniel Arthur Cyprien: 

                               girault daniel 20  girault daniel 10

           Il est né le 5 décembre 1881 à Sennevières. Il était ouvrier agricole cultivateur chez son père à La Vallières.
         
          Fils de GIRAULT Moïse (1849-1934) et de feue TAUPIN Marie Octavie (1848-1888), cultivateurs. 
Frère de GIRAULT Hector Gaston Leubé et de GIRAULT Ferdinand Lazare, tout deux morts durant la guerre et de GIRAULT Ludovic Marie Moïse.

          En 1901, il résidait à Sennevières. 

           Le 20 avril 1907, il se marie à CHARBONNIER Amélina Marie (1882 à Sennevières - 1974), à Sennevières. Ils avaient 2 enfants : Felix Léon (Charbonnier) (1903 Sennevières -) et Rosa Marie (1908 Sennevières - ).
          En 1911, ils vivaient à Sennevières.
          
           En 1901, il est bon pour le service et est incorporé à compter du 16 novembre 1902. Il est fait caporal conducteur le 19 septembre 1903. Il est envoyé dans la disponibilité le 23 septembre 1903 avec un certificat de bonne conduite. Il effectue des periodes d'exercices dans le 68e RI du 27 août au 18 septembre 1909 puis du 10 au 26 novembre 1910.

           Soldat du 77e RI, il passe ensuite dans le 8e bataillon de chasseur à pied (le 14 décembre 1914), 58e batailllon de chasseur à pied (18 décembre 1915) et 9e ORI (1916) du bureau de recurtement du Blanc avec pour matricule le 1293. Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale et arrive au corps le 3 août 1914. Il part au front le 7 septembre 1914. Il est nommé sergent le 29 septembre 1914.  Il est évacué malade (rhumatismes) le 13 février 1915 et repart au front le 18 décembre 1915. Il part en Orient le 11 octobre 1916 et rentre en France, malade (rhumatisme sciatique) le 9 février 1917. Il est mis en congé illimité le 28 février 1919.
           Il est classé premier auxiliaire proposé pour une pension temporaire avec une évaluation de l'invalidité de 20% pour du paludisme, une pleurésie avec épanchemement survenu en décembre 1919. Il est jugé en bon état général par la commission spéciale de Tours le 31 mars 1920 et est maintenu premier auxiliaire proposé pour une pension temporaire avec évaluation de l'invalidité de 20% le 22 novembre 1921 pour paludisme avec accès fébriles, rate hypertrophie percutable : état général bon. Il a un léger reliquat de pleurésie gauche survenu en décembre 1919 avec obscurité de la base. Il est maintenu en service auxiliaired'invalidité temporaire à 35% le 20 novembre 1923 pour paludisme, ancien reliquat de pleurésie. Il a subi en 1923 une gastroentérostomie pour sténose.

                     Campagnes
                               Du 3 aoû 1914 au 7 août 1914 : intérieur (simple).
                               Du 8 août 1914 au 12 février 1915 : Armées.
                               Du 13 février 1915 au 17 décembre 1915 : intérieur (simple).
                               Du 18 décembre 1915 au 10 octobre 1916 : Armées.
                               Du 11 octobre 1916 au 8 février 1917 : à l'Orient.
                               Du 9 février 1917 au 27 février 1919 : intérieur (simple).
                                


           Il serait décedé à Sennevières en 1962 (pas de possibilité de vérifier pour le moment).

 
                   
                    
                   
                   
 
 



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