Egliose Saint Leubais                   
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          CARRE Auguste silvain : 

                   carre auguste 1  carre auguste 2

         Il est né le 18 mai 1885 à Chemillé sur Indrois.

         Fils de CARRE Auguste et de LUCAS Anne Désirée, domiciliés à Genillé.

         En 1909, il résidait à Sennevières (FM).
         Le 12 juin 1909, il épouse DAUMAIN Marie Louise à Sennevières.

         En 1911, il vivait à Sennevières à la Logerelle chez Daumain Louis (beau père) avec sa femme Carré Daumain Marie Louise (1885 Villeloin Coulangé - ) en tant qu'ouvrier agricole. (recensement).

         Il est incorporé à compter du 7 février 1906 et arrive au corps, 68e RI en tant que soldat de 2e classe (Matricule N°466). Le 6 mai 1907, il devient soldat de 1ere classe. Il est envoyé à la disponibilité le 25 septembre 1908 avec un certificat de bonne conduite et passe dans la réserve de l'armée active le 1er octobre 1908. Il effectue une période d'exercices au 68e RI du 30 août au 21 septembre 1911.

         Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale et arrive au corps le 4 août 1914 au régiment d'infanterie du Blanc. Il part aux armées dès le 4 août 1914. Le 21 mars 1915, il devient caporal. Il est blessé le 10 novembre 1916 à Somme - Py par un éclat d'obus avec petite plaie pénétrante de la région dorsale.
         Il est cité à l'ordre de la dicision le 3 décembre 1916 :"très courageux et très énergique. Pendant la période du 7 au 21 novembre 1916 a conduit les corvées de ravitaillement de la compagnie dans des terrains bouleversés et dans une zone particulièrement dangereuse. A été blessé le 10 novembre 1916 au cours de ces corvées a refusé de se faire évacuer et a continué son service en donnant à tous un bel exemple de courage et de dévouement. Bataille de la Somme." 
         Il rentre au dépôt pour l'instruction le 20 février 1918. Il passe au 66e RI le 16 juillet 1918. Il est mis en congé illimité le 15 mars 1919 (3e échalon N°208 dépôt mobilisateur : 68e RI.

                   Campagnes
                             Du 4 août 1914 au 19 février 1918 : aux armées.
                             Du 20 février 1918 au 14 mars 1919 : intérieur (simple).


         En 1923, il résidait à Fléré la Rivière.

          Le 8 mars 1932, il est maintenu dans le service armé mais invalide inférieur à 10% non imputable, par la commission de réforme de Tours pour : Pas de traces de blessure de la région dorsale gauche.

         Il obtient sa carte de combattant N° 2180, le 6 décembre 1928, vérifiée le 22 février 1939.

         En 1933, il résidait à Loches aux "Renardières".

        En 1936, il résidait à Loches aux Loups.
         BOUTEAU Eugène : 

                   bouteau eugenes 1      bouteau eugenes 2

         Il est né le 21 juillet 1885 à Sennevières aux Germains.

         Fils de BOUTEAU Alphonse (1859 Sennevières - ) et de GALAND Eugénie (1864 Loché - ), domiciliés à Sennevières aux Germains. Ils avaient trois enfants : Maria (1893 Sennevières - ), Jeanne (1897 Sennevières - ) et Eugènes.

         Le 5 juin 1909, il se marie à Sennevières avec VILLEMAINE Renée Silvine

         En 1911, il vivait chez ses parents aux Germains, avec sa femme VILLEMAINE Renée (1885 Céré - ) et leur fils René (1910 Sennevières - ).(recensement)

          Il est incorporé à compter du 6 octobre 1906 et arrive au corps en tant que soldat de 2e classe. Il est envoyé à la disponnibilité le 25 septembre 1908 avec certificat de bonne conduite. Il passe dans la réserve de l'armée active le 1er octobre 1908.

         Il est rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale et arrive au corps, 68e RI, le 4 août 1914. Il part aux armées le 4 août 1914.  Il est évacué malade "broncho pneumonie", le 8 novembre 1914. Il est classe dans le service auxiliaire et maintenu au corps par décision du général commandant de la subdivision de Châteauroux du 24 juillet 1915 sur avis de la commission de réforme de Châteauroux du 25 juin 1915 pour bronchite, pneumonie. Il est renvoyé dans ses foyers le 14 septembre 1915 comme étant en sursis d'appel jusqu'au 10 octobre 1915 par décision du général du 24 août 1915 comme mécanicien agricole à Sennevières. Il est classé au service armé par la commission de réforme de Châteauroux du 13 septembre 1915.
         Il rejoint le régiment d'infanterie du Blanc le 11 octobre 1915. Il part au front, avec le 74e RI le 20 avril 1916 et est évacué malade pour gastro entérite le 22 mai 1915. Il est placé en sursis d'appel jusqu'au 31 octobre 1917 au titre des machines à bettre à Sennevières par décision du général de la 9e région du 12 juillet 1917. Il est renvoyé dans ses foyers le 12 août 1917. Son sursis est annulé par décision du général de la 9e région du 17 août 1917.  Il repart au front le 12 janvier 1918, avec le 28e RI et est évacué malade "bronchite légère" le 30 juin 1918. Il repart aux armées le 29 novembre 1918. Il est mis en congé illimité le 1er mars 1919 (5e échelon dépôt mobilisateur : 68e RI).

                   Campagnes
                             Du 17 août 1917 au 11 janvier 1918 : intérieur (simple).
                             Du 12 janvier 1918 au 29 juin 1918 : aux armées.
                             Du 30 juin 1918 au 28 novembre 1918 : intérieur (simple).
                             Du 29 novembre 1918 au 14 mars 1919 : aux armées.

         Il est cité à l'ordre du régiment le 15 février 1919 : "très bon soldat, brave et energique. S'est distingué au cours des attaques faites par le régiment pendant la période du 10 août au 11 novembre 1918".

                   Il possède la croix de guerre.

         
Il est décédé le 22 décembre 1958 à Beaulieu les Loches.
         BUFFET Emile : 

                  buffet emile

         Il est né le 26 janvier 1884 à Saint Jean Saint Germain.

         Fils de BUFFET François (1861-1922) et de GIRARD Clémence (1863-1948), domiciliés à Sennevières à la Servollière. Ils avaient un autre fils, Julien (1886 Beaulieu - ). (recensement)

         En 1904, il résidait à Sennevières. (FM)

         Le 21 novembre 1908, il se marie avec JOUSSET Eugénie Aimée (1888-1941) à Saint Jean Saint Germain. Ils ont 4 enfant : Aline (1909-2001), Albert (1910-1998), Gilbert Aimé ( - ) et Elise ( - ).

         En 1911, il résidait à Sennevières aux Penêts (recensement), en tant que chef métayer avec son épouse Jousset Eugénie (1888 Saint Jean - ), sa fille Aline (1909 Sennevières - ), son fils Albert (1910 Sennevières - ) et deux domestiques. (recensement 1911)
     
          Il est incorporé à compter du 10 octobre 1905 et arrive au corps en tant que soldat de 2e classe. Il deviebt soldat de 1er classe le 6 mai 1907. Il est envoyé dans la disponibilité le 28 septembre 1907 avec certificat de bonne conduite. Il accompli une période d'exercice au 68e RI du 26 aout au 17 septembre 1910, puis une seconde du 11 avril au 27 avril 1912.
         Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale et arrive au corps  le 4 août 1914 (matricule N° 356) au 68e régiment d'infanterie du Blanc. Il part aux armées le 4 août 1914. Il est fait prisonnier de guerre le 6 novembre 1914 à Ypres (lieu inconnu) et interné à Tarnsdats ??? le 7 jancier 1915. Il est rapatrié le 15 décembre 1918. Il est mis en congé illimité le 28 février 1919 (4e échelon N°95 dépôt mobilisateur : 68e RI).

                  Campagnes
                             Du 4 août 1914 au 6 octobre 1914 : aux armées.
                             Du 7 octobre 1914 au 14 décembre 1918 : en captivité.
                             Du 15 décembre 1918 au 27 février 1919 : intérieur (simple).


         En 1919, il résidait à Saint Jean Saint Germain.

         Sa carte de combattant N°1381 lui est octroyée le 7 avril 1928 et est confirmée le 25 mars 1946.

         Il est décédé le 15 mai 1961 à Perrusson et y est enterré.
            BUFFET Julien Armand :

                    buffet julien 1  buffet julien 2 

           Il est né le 22 juillet 1886 à Beaulieu.

           Fils de BUFFET François (1861 Bridoré - 1922) et de GIRARD Clémence (1863 Saint Hippolyte-1948), domiciliés à Sennevières, à la Servollière en 1911 (recensement). Ils ont deux fils Julien et Emile.

           En 1906, il était domicilié à Sennevières.

            Il est incorporé à compter du 7 octobre 1907 et arrive au corps, 144e RI, en tant que soldat de 2e classe (Matricule N° 65). Il devient caporal le 1er octobre 1908. Il est envoyé dans la disponibilité le 25 septembre 1909 avec certificat de bonne conduite. Il passe dans la réserve de l'armée active le 1er octobre 1909. 
 
            En 1911, il était domicilié à Sennevières à la Servollière, chez ses parents en tanyt qu'ouvrier agricole.

           Le 8 juillet 1913, il épouse AGENET Angèle, à Sennevières (25/09/1894 Saint Jean-13/04/1984 Loches). Ils ont eut comme enfant Hubert (1922-2002 Sennevières), Marie Marguerite (1912 - ), Maurice Emile ( -1927 Sennevières), Léa Simone (1930 Sennevières-1930 Sennevières).

           Il passe au régiment d'infanterie de Blois le 15 avril 1914. Il est rappelé à l'activité en vertu de la mobilisation générale et arrive au corps le 3 août 1914, régiment d'infanterie de Blois. Il part aux armées le 3 août 1914.  Il est évacué malade, typhoïde, le 11 octobre 1914. Il part en renfort le 2 février 1915. Il est nommé sergent le 27 juillet 1915. Bléssé le 1er avril 1916 au secteur du Mont de Villers Argonnes. Il est évacué blessé le 2 avril 1916, pour plaie en seton musculaire profond de l'avant bras gauche par balle, suivie d'ostéonyelèse du radius. Il part au front le 28 mai 1917. Le 7 décembre 1917, il rejoint le 340e RI. Il est mis en congé illimité le 28 mars 1919 (6e échelon 606 dépôt mobilisateur 68e RI).
            Il est cité à l'ordre général de la division N° 478 du 23 septembre 1918 : "a secondé admirablement son chef de section pendant plusieurs engagements celui-ci ayant été mis hors de combat. A pris sous le feu le commandement de sa section qui venait d'être durement éprouvée et l'a energiquement maintenu sous un violent tir d'artillerie ennemie".
            Il est cité à l'ordre générale de la division N° 490 du 25 novembre 1918 : "Gradé d'un courage inlassable et d'un réel mépris du danger le 18 octobre 1918, pris à partie par plusieurs mitrailleuses légères situées dans un même élément de tranchée et empéchant les compagnies de tête de progresser, s'est écrié "sapristi on ne les aura pas? Venez ici" et déplaçant sa pièce au mieux de sa mission, a réussi à faire taire l'ennemi et a contribuer à la capture de nombreux prisonnier.
           Il possède la croix de guerre et la médaille militaire (décret du 3 mars 1932 JO du 16 mars 1932).     

                     Campagnes :
                               Du 3 août 1914 au 10 octobre 1914 : aux armées.
                               Du 11 octobre 1914 au 1er février 1915 : intérieur (simple).
                               Du 2 février 1915 au 1er avril 1916 : aux armées.
                               Du 2 avril 1916 au 1er avril 1917 : intérieur (double).
                               Du 2 avril 1917 au 24 mai 1917 : intérieur (simple).
                               Du 25 mai 1917 au 27 mars 1919 : aux armées.


           En 1921, il vivait aux Allouaux (recensement) en tant que patron fermier, avec son épouse AGENET Angèle, leur fille Marie Marguerite et sa belle-mère veuve Agenet Thibault Marie (1873 Bridoré - ), qui était aussi sa domestique.

           Il obtient sa carte de combattant le 25 octobre 1932.

           Il est décédé le 6 décembre 1954 à Sennevières et y est enterré.
           PERDREAU Etienne Marie Joseph : 

                     perdreau etienne 1      perdreau etienne 2

           Il est né le 9 janvier 1883 à Clion.

           Fils de PERDREAU Louis et de RIPAU Constance, domiciliés à Genillé.
 
           En 1903, il résidait à Genillé.

           En 1908, il résidait à Sennevières.

           En 1911, il était domicilé à Sennevières aux Bray en tant que domestique ouvrier agricole chez Durant Alexandre, avec sa femme qui était aussi domestique.

           Le 8 janvier 1912, il épouse SALMON Hélène Marie, à Sennevières.

           Incorporé à compter du 16 novembre 1904 et arrivé au corps comme cavalier de 2e classe (Matricule N°954). Il est envoyé dans la disponibilité le 12 juillet 1907 avec certificat de bonne conduite. Il passe dans la réserve le 1er octobre 1907. Il accompli une période d'exercices au 8e régiment de cuirassiers du 3 au 25 février 1910, puis une deuxième au 9e escadron du train des équipages du 20 mars au 5 avril 1912. Il est désaffecté de la cavalerie le 1er mars 1911.

           En 1913, il résidait à Beaulieu.

           Rappelé à l'activité en vertu de la mobilisation générale, il arrive au corps, 9e escadron du train des équipages militaires, le 4 août 1914. Il part aux armées le 11 août 1914. Il rentre au dépôt le 2 février 1917. Il passe au 109e régiment d'artillerie lourde le 6 février 1917, puis au 81e régiment d'artillerie lourde le 2 mai 1917, puis au 288e régiment d'artillerie lourde le 11 juin 1917. Il part en renfort le 24 août 1917. Il est évacué malade, embarras gastriques, le 5 mars 1917. Il part au front le 29 décembre 1917. Le 1 mars 1919, il intègre le 85e régiment d'artillerie lourde. Il est mis en congé illimté le 16 mars 1919 (5e échelon, dépôt mobilisateur 20e régiment d'artillerie).
           Il est cité à l'ordre du régiment N°151 : "Excellent chauffeur de tracteur qui lors des offensives de 1908 dans la Somme et en Champagne a montré une énergie et un courage au dessus de tout éloge en assurant les ravitaillements en munitions et le débourbage des camions sous les tirs de harcèlement de l'énnemi".

                     Campagnes
                               Du 4 août 1914 au 10 août 1914 : intérieur (simple).
                               Du 11 août 1914 au 1er février 1917 : aux armées.
                               Du 2 février 1917 au 23 août 1917 : intérieur (simple).
                               Du 24 août 1917 au 4 novembre 1917 : aux armées.
                               Du 5 novembre 1917 au 28 décembre 1917 : intérieur (simple).
                               Du 29 décembre 1917 au 15 mars 1919 : aux armées.

           Il possède la croix de guerre.
         
            En 1921, il résidait à Montrésor.
            En 1924, il résidait à Ponchartrain.
            En 1927, il résidait à Versailles.
 
           Il obtient sa carte de combattant le 15 avril 1932.
           ROUGET René : 

                      rouget rené 1   rouget rene 2

            Il est né le 17 septembre 1881 à Saint Jean Saint Germain.

            Fils de père inconnu et de ROUGET Marie, aucun renseignement sur le lieu de résidence, elle ne possédait pas de tuteur.

           En 1901, il résidait à Sennevières.

            Il est incorporé à compter du 16 novembre 1902 et arrive au corps en tant que soldat de 2e classe au 77e régiment d'infanterie (Matricule N° 1226). Il est envoyé dans la disponibilité le 23 septembre 1905 avec certificat de bonne conduite. Il passe dans la réserve de l'armée active le 1er octobre 1905. Il effectue une période d'exercice au 68e RI du 27 août au 18 septembre 1909, puis une seconde du 10 au 26 novembre 1910.

           L 24 avril 1909, il épouse VILLIERS Marie Augustine (1890-1976) à Sennevières. Ils auront trois fils : André Augustin (1910-1993), Olivier René (1911-2002) et René Raymond (1918-1997).

           En 1911, il résidait à Sennevières aux Nouers, chez Villiers Alexandre (beau-père) en tant qu'ouvrier agricole, avec sa femme Villiers Julia, sa fille Rouget Villiers Marie et son petit fils Rouget André.
    
           Il est rappelé à l'activité armée avec la mobilisation générale au régiment d'infanterie du Blanc. Il arrive au corps le 12 août 1914. Il part aux armées le 3 novembre 1914. Il est évacué malade le 2 février 1915 pour vertiges. Il part en renfort le 11 février 1915. Nous savons qu'il est passé par le 117e RI puis par le 68e RI.

           Il est cité à l'ordre du CA N°199 le 18 mai 1916 "au front depuis le début de la campagne d'une endurance à toute épreuve. légèrement blessé a continuer de faire le coup de feu et a refusé de se faire évacuer, n'à quitté son poste qu'à la dernière extrémité (mai 1916).
           Il possède la croix de guerre.

            Mention barrée : Il est détaché au dépot des métallurgistes 19 rue d'Estrées à Paris par décision ministérielle le 25 août 1916. Il passe au chantier de l'Atlantique à Saint Nazaire (Loire Inférieure), le 21 décembre 1916 par décision minsistérielle du 25 aout 1916.
                                    Passé aux usines métallurgiques de la Basse Loire à Tregnace le 6 janvier 1917. Mutations pour un homonyme du recrutement de Parthenay.

   
                      Campagnes
                               Du 12 août 1914 au 2 novembre 1914 : intérieur (simple).
                               Du 3 novembre 1914 au 1er février 1915 : aux armées.
                               Du 2 février 1915 au 10 février 1915 : intérieur (simple).
                               Du 11 février 1915 au 21 février 1919 : aux armées.

           Il est mis en congés illimité le 22 février 1919 (3e échelon dépot mobilisateur 68e RI).


           En 1921, il résidait aux Nouers en tant que fermier patron, avec sa femme son fils André, son fils Olivier, son fils René et quatre domestiques.
  
           Il obtient sa carte de combattant N° 5126 le 31 mai 1929. Il obtient la cart d'ancien combattant le 18 mai 1942.

           Il est décédé le 18 juillet 1959 à Sennevières et y est enterré.
                 
 
 



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