Egliose Saint Leubais                   
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      agenet louis auguste
          AGENET Louis Auguste : 

Né le 14 Juin 1868 à Férrière. Il était métayer.

          Fils de Agenet Abraham et de Caraty Silvine.

          En 1888, il rédidait à Saint Jean Saint Germain.

          Le 16 juin 1893, il se marie, à Orbigny, avec Thibault Marie Louise (1873 (Bridoré)-8 Mai 1948 (Sennevières)) et ont pour enfant Angèle (1894 (Saint jean Saint Germain)-1984), mariée le 8 juillet 1913, à Sennevières, avec Buffet Julien Armand*.

          En 1911, il résidait à Sennevières, aux Allouaux, avec sa femme et sa fille.

          Il fait partie de la classe 1888, avec pour matricule le N°582. Il est incorporé à compter du 11 novembre 1889, au 9eme escadron du train des équipages militaires stationné à Châteauroux. Sachant qu'il est né en 1868 et qu'l ne fait pas partie de la territoriale, il ne fait qu'une courte campagne du 6 août 1914 au 9 août 1914.

          Il décède le 13 juin 1916 à Sennevières.

 
   arnautl alexandre eugène
ARNAULT Alexandre Eugène : 

Né le 21 septembre 1889, à Betz le Château. Il était cultivateur.

          Fils de Arnault Eugène (1860-1915) et de Arnault Marie Rose (1861-1916).

          En 1909, il résidait à Betz le Château.

          En 1913, il résidait à Betz le Château.
  
          Le 27 Mai 1913, il se marie, à Betz le Chateau, avec Baudouin Julie Maria Eglantine (11 octobre 1894 (Betz) - 16 novembre 1962 (Beaulieu)) et ont pour enfant Renée Maria Andrée (1916 (Sennevières) -), mariée le 22 avril 1935 à Sennevières avec Rolland Camille Marcel.

          En 1916, il résidait à Sennevières (naissance de sa fille).

          Il appartient à la classe 1909 avec pour matricule le N° 1435. Il est incorporé à compter du 5 octobre 1910 au 66eme Régiment d'infanterie. Il arrive au tant que soldat 1e classe, devient soldat 1ere classe le 25 octobre 1911 et passe caporal le 21 février 1916. 

     Campagnes
         Du 3 août 1914 au 13 janvier 1915 : Aux armées.
         Du 14 janvier 1915 au 25 mars 1915 : intereur (simple).
                           Le 14 janvier 1915, il est evacué malade pour thyphoïde.
         Du 26 mars 1915 au 14 mai 1915 : aux armées
                           Le 14 mai 1915, il est blessé au bras droit par un éclat d'obus à Touchez (?)
         Du 15 mai 1915 au 3 décembre 1915 : intérieur (double)
         Du 4 décembre 1915 au 10 février 1918 : aux armées
                           Le 21 février 1916, il devient caporal.
                           Le 22 mai 1916, citation.
         Du 11 févier 1918 au 28 août 1918 : intérieur (simple)
         Du 29 août 1918 au 14 mars 1919 : aux armées.
          
         Il est cité à l'ordre du régiment N°22, le 22 mai 1916 : "Très belle conduite au combat du 5 mai 1916".
                 Croix de guerre avec étoile de bronze.


          En 1934, il résidait à Sennevières au Haut Vallières.

          Il décède le 24 juin 1935 à Sennevières.
audebert gaston
AUDEBERT Gaston Clément : 

Né le 23 novembre 1888 à Sennevières. Il était instituteur public.

          Fils de Audebert Julien (1866 (Antigny 86)-1903 (Preuilly sur Claise)) et de Pansart Albertine (1865-1906), domiciliés à Tours en 1908. Il avait pour frère Marc Jules Lucien (1890-1914)* et Marius (1891-1891).

          En 1908, il résidait à Preuilly sur Claise. 

          En 1908, il est classé soutien indispensable de famille par l'armée.

          Le 8 octobre 1909, il est incorporé au 66e Régiment d'infanterie en tant que soldat de 2e classe. Le 22 mars 1910, il devient caporal et est promu sous lieutenant de réserve le 1er avril 1911. Il est ensuite affecté au 135e Régiment d'Infanterie d'Angers.

          En 1912, il résidait à Marcilly sur Maulnes.

          En 1913, il résidait et était instituteur à Villebourg.
 
          Le 25 mars 1913, il se marie avec Alousque Suzanne à Saint Christophe sur le Nais (37).

          Il appartenait à la classe 1908 avec pour matricule le N° 1868 du bureau de recrutement de Tours et fait parti de la réserve. Il est rappelé à l'activité avec la mobilisation générale et part aux armées le 3 août 1914. Durant la guerre nous savons qu'il a appartenu au 135e Régiment d'infanterie d'Angers, au 66e Régiment territorial d'infanterie, au 237e Régiment territorial d'infanterie, au 37e Régiment territorial d'Infanterie, au 204e régiment d'Infanterie et au 8e Régiment d'infanterie colonial.

     Campagnes : 
          Du 3 août 1914 au 23 août 1914 : aux armées.
          Du 24 août 1914 au 12 avril 1915 : intérieur.
                 Le 5 septembre 1914 : blessé par un coup d'épée, avec une plaie en séton au genou droit à Bièvre en Belgique. (Blessure, plaie qui a un trajet sous-cutané et qui comporte deux orifices, provoquée par une arme blanche, un projectile ou un corps étranger).
          Du 13 avril 1915 au 15 avril 1916 : aux armées.
          Du 16 avril 1916 au 25 mai 1916 : intérieur.
          Du 26 mai 1916 au 3 juillet 1916 : aux armées.
          Du 4 juillet 1916 au 29 novembre 1916 : intérieur.
          Du 30 novembre 1916 au 26 février 1918 : aux armées.
          Du 27 février 1918 au 20 mai 1918 : inétrieur.
          Du 21 mai 1918 au 16 juin 1919 : A l'Orient.

          Il possède deux citations : 
                 Cité à l'ordre du 35e Régiment d'Infanterie N°5 du 24 août 1914 : "Belle attitude au feu, blessé à la tête de sa section".
                 Cité à l'ordre de 8e Régiment d'Infanterie N°78 du 17 octobre 1918 : "officier énergique et plein d'allant. S'est bien acquitté des missions confiées à la compagnie au cours des opérations du 18 au 26 septembre 1918".
                 Croix de guerre avec étoile de bronze.

  
          Nous savons qu'il a reçu la légion d'honneur.

          En 1919, il résidait à Semblançay.

          En 1930, il résidait à la Riche.

          En 1933, il résidait à Tours.

          Il décède le 14 novembre 1957 à Tours, à 68 ans.

 
     auger auguste
AUGER Auguste Constant : 

Né le 26 septembre 1873 à Saint Quentin, aux Rotis. Il était garde forestier aux Eaux et Forets.

         Fils de Auger Pierre (1835- ), cantonnier forestier et de Auvray Marie Victorine (1840 - DCD avant 1893), domiciliés à Saint Quentin en 1893. Il avait une soeur Zulma Aimé (mariée à Daumain Ernest Constant le 26 novembre 1884 à Saint Quentin sur Indrois).

          En 1893, il résidait à Saint Quentin.

          Le 16 novembre 1894, il rejoint son corps en tant que soldat de 2e classe et devient caporal le 26 septembre 1896. Il est envoyé en congé le 18 septembre 1897 en attendant son passage dans la térritoriale. Il possède un certificat de bonne conduite. Le 1er octobre 1897, il passe dans la réserve de l'armée active.

          En 1897, il résidait à Beaulieu les Loches.

          Le 29 novembre 1897, il se marie à Ferrière sur Beaulieu avec Lorillou Marie Victorine (24 octobre 1876 à Ferrière - ), lingère. Ils ont pour enfants Thérèse (1900 Beaulieu - ) et Fernand (1907 Sennevières - ).

          Du 27 avril 1900 au 23 septembre 1900, il effectue une période d'exercices dans le 68e Régiment d'infanterie.

          Du 21 août 1903 au 20 septembre 1903, il effectue une seconde période d'exercice dans le 68e Régiment d'Infanterie. 

          Le 3 juin 1905, il est classé dans les affectations spéciales de la 9e région en qualité de garde des forêts à Sennevières.

          Le 1er octobre 1907, il passe dans l'armée territoriale.

          En 1907, il résidait à Sennevières.

          En 1911, il résidait à Sennevières, aux Moreaux avec sa femme, leur fille Thérèse, leur fils Fernand.

          Il appartenait à la classe 1893 avec pour matricule le N° 242, il appartenait à la territoriale. Il est mobilisé par le décret du 1er août 1914 et possède une affectation spéciale. Il est affecté à la 9e compagnie de chasseurs forestiers dont le lieu de rassemblement est Tours. Il est arrivé et incorporé le 3 août 1914. Il est est mis à la 8e du Génie de l'intérieur pour les centres d'applications de bois en excécution des ordres N°6440 2/1 et 16411/1 en date des 16 novembre et 27 décembre 1915. Il est dirigé le 31 décembre 1915 sur la chefferie d'Orléans. Il est remis à la disposition des eaux et forêts (décision du général commandant en chef en date du 10 mars 1916).
Il est libéré du service militaire le 1er juin 1921.


          En 1921, il résidait à Sennevières, aux Moreaux, avec sa femme, son fils Fernand, sa fille Thérèse et son mari Jabveneau Auguste*.

          En 1926, il résidait à Sennevières, aux Moreaux, avec sa femme et son fils Fernand.

          En 1931, il résidait à Beaulieu les Loches, rue Basse, avec son épouse.

          En 1936, lors du recensement seulement sa femme apparaissait à Beaulieu les Loches.

          Il décède le 26 février 1936 à Beaulieu les Loches, à 63 ans.
 
     ballu maxime
BALLU Maxime Pierre : 

Né le 29 mai 1881 à Cinq Mars la Pile (37). Il était journalier cultivateur, en 1902, il était cordonnier (acte de mariage).

          Fils de Inconnu sur la fiche matricule et acte de mariage, Nevoit Jean Louis sur le registre de décès (27 novembre 1834 Gizeux - 3 mars 1898 La Ferté sur Jouarre) et de Ballu Marie (14 février 1848 Beaumont en Veron - 6 mars 1918 Rue de Beautertre Loches).

          En 1901, il résidait à Loches.

          En 1901, il est mise dans la service auxiliaire pour varices voluminentes.

          Le 12 juillet 1902, il épouse à Sennevières, Dauny Auguste Silvibe Félicité (10 juillet 1880 - 1er mars 1936 Sennevières). Ils auront comme enfants : Augustine (1904 Sennevières-1960), Maximin (1905 Sennevières-1987), Joseph (1907 Sennevières - ), Marguerite (1910 Sennevières - ), Rose Désirée (1913 - 1982), Renée Albertine (1914 Loches - ), Albert ou Pïerre(1916 Loches -2001).

          En 1903 (13 avril), il résidait à Saint Genou.

          En 1903 (15 novembre), il résidait à Sennevières.

          En 1911, il résidait à Sennevières à la Arrouardière avec son épouse, ses filles Augustine et Marguerite, ses fils Maximin et Joseph et sa belle mère : Doiseau Marie (1842-)

          Il appartenait à la classe 1901 et avait pour matricule le N°1304.  Il est maintenu dans le service auxiliaire par la commission spéciale de réforme du Blanc le 17 novembre 1914. Il est toutefois rappelé à l'acitivité avec la mobilisation générale et arrive au corps le 1er mai 1915. Il passe dans l'armée territoriale le 6 mai 1915Il est renvoyé dans ses foyers le 7 mai 1915. Il est mis en congé illimité le 21 mai 1919, 1er échelon N° 1446 dépot mobilisateur le 68e Régiment d'Infanterie. Il est rattaché à la classe 1887 comme père de 6 enfants.

     Campagnes
          Du 1er mai 1915 au 7 mai 1915 : intérieur (simple).


          En 1921, il résidait à Sennevières à l'Arrouarderie avec son épouse, ses trois fils : Maximin, Joseph et Albert et ses trois filles : Marguerite, Rose et Renée.

          En 1926, i résidait à Sennevières à l'Arrouarderie avec son épouse sa fille Albertine et son fils Pierre ou Albert.
          
          Le 10 octobre 1928, il est libéré définitivement de toute obligation militaire par anticipation comme père de 6 enfants.

          En 1931, il résidait à Sennvières à L'Arrouarderie avec son épouse.

          En 1936, il résidait à Sennevières à l'Arrouarderie, seul.

          Il décède le 15 juillet 1941, rue de Beautertre à Loches.

 
baratault joseph

baratault joseph 2
BARATAULT Joseph Désiré : 

Né le 11 septembre 1899 à Perrusson, Il était cultivateur.

          Fils de Baratault Joseph Henri (1862 - ) et de Monpoint Justine Louise (1866 - ), domiciliés à Saint Jean Saint Germain en 1919 et à Sennevières (La Chataignière) en 1926. Il avait deux soeurs et deux frères : Eugénie Désirée (1894-1992), Marie Augustine sa jumelle (1899 Perrusson - ), Augustin (1901- ) et Louis (1903 Perrusson - ).

          Il appartenait à la classe 1919 avec pour matricule le N° 1615. Il est incorporé le 21 avril 1918 au 90e régiment d'infanterie et arrive au corps en tant que soldat de 2e classe. Il est envoyé dans la disponibilité le 21 mars 1921 avec certificat de bonne conduite.

      Campagnes
          Du 21 avril 1918 au 28 août 1918 : intérieur (simple).
          Du 29 août 1918 au 22 août 1919 : aux armées.
          Du 23 août 1919 au 23 octobre 1919 : intérieur (simple).
                           Le 27 septembre 1919, il passe au 58e Régiment d'infanterie.

          Du 12 décembre 1919 au 13 février 1921 : au Levant.

          Il participe à la seconde guerre mondiale.


          En 1919, il résidait à Saint Jean Saint Germain.

          Le 28 juin 1924, il se marie avec Tortevoix Irma Rachelle (1901 Saint Jean Saint Germain - ) à Sennevières. Ils ont un fils Marcel Joseph (14/06/1928 - 16/06/1928) et une fille Jeanne (1928 Sennevières - ).

          En 1925, il résidait à Sennevières.

          En 1926, il vivait à Sennevières à la Chataignière avec sa femme.

          En 1931, il vivait à Sennevières à la Chataignière avec sa femme et sa fille. Il était alors employé par son père.

          En 1936, il vivait à Sennevières, à la Chataignière, avec sa femme, leur fille, sa belle mère et deux domestique. Il était alors chef métayer.

          Il est décédé le 20 juin 1975 à Villeloin Coulangé.
      barreau louis
BARREAU Louis Joseph : 

Né le 29 novembre 1891 à Le Tanger (36). Il était domestique de ferme.

          Fils de Barreau Louis (1857 Celle Guénand - ) et de Fauguet Eugénie (1858 Saint Médard - ), résidant à Fléré la Rivière en 1911. Beau frère de Granger Jules*, Edouard Jean*, Robert* qui ont tousd les trois faits la guerre.

          En 1911, il résidait à Betz le Chateau. Sur sa fiche matricule est indiqué qu'il avait le permis de conduire des "véhicules automobiles".

          Il appartenait à la classe 1911 avec pour matricule le N° 70. Il est incorporé à compter du 1er octobre 1912 et arrive au corps le 2 octobre 1912 en tant que hussard de 2e classe, au 7e régiment de hussards. Il est admis à la réforme N°1 avec gratification renouvelable (1ere catégorie) par décision ministérielle du 3 avril 1914 sur prposition de la commission spéciale de réforme de Parthenay du 12 octobre 1913 par "fracture du crane". Il est parti et rayé des contraole le 26 avril 1914 avec un certificat de bonne conduite.
          Réforme N°1 maintenue par la décision du conseil de révision du département de l'Indre dans sa séance du 14 octobre 1914 : Invalidité permanente de 20% par la commission de réforme de Châteauroux le 20 janvier 1920 pour Perte de substance osseuse complète (expension perceptible) à la région pariéto-occiphale gauche suite de trépanation, d'une dimension de 1 cm5 sur 4 cm. Blessure par coup de pied de cheval antérieur à la mobilisation (sur pièce).

          Le 21 juin 1920, il se marie, à Sennevières avec Granger Marie Louise (1899 Sennevières - ). Ils ont 5 enfants.
          En 1921, il résidait à Sennevières, aux Allouaux chez son beau père Granger Jean, qui était aussi son patron avec sa belle mère Pasquier Marie, son beau frère Roger, sa femme Marie Louise (1899 Sennevières - ).

          En 1926, il résidait à Fléré la Rivière à la bataillerie, avec sa femme, sa fille Raymonde (1923 Sennevières - ), son autre fille Suzanne (1921 Sennevières - ). Vivait aussi dans le hameau, sa soeur Marie (1894 Le Tanger - ). 

          En 1931, il résidait à Fléré la Rivière à la bataillerie avec sa femme Maerie Louise, ses filles Suzanne et Raymonde et ses fils Camille et Raoul (1928 - ).

          En 1936, il résidait à Sennevières, aux Allouaux en tant que propriétaire exploitant. Il vivait avec sa femme, Marie Louise, sa fille Suzanne (1921 Sennevières - ), son autre fille Raymonde (1923 Sennevières - ), leur fils Camille (1927  Fléré La Rivière - ), leur autre fils Louis Raoul (1928 Fléré la Rivière - ), Jeanne (1935 Sennevières - ), son beau père Jean et un domestique.

          En 1937 (5 juillet), il résidait à Sennevières.

          Il décède le 18 septembre 1964 à Sennevières.
  beigneux baptiste
BEIGNEUX Baptiste : 

Né le 21 octobre 1897 à Sennevières. Il était cultivateur.

          Fils de Beigneux René (1861 Mézière en Brenne - 23 juin 1918 Sennevières) et de Aubusson Florence ( - avant 1911), residant à Sennevières aux Penêts en 1911.

          En 1911, il résidait à Sennevières, aux Penêts, avec son père René et sa belle mère Moreau Constance (1838 Saint Hippolyte - ).

          Il appartenait à la classe 1917 avec pour Matricule le N° 259, il appartenait au 13e Régiment d'Infanterie. Il est incorporé le 9 janvier 1916 et arrive au corps en tant que soldat de 2e classe. Il part aux armées le 22 octobre 1916 et est évacué malade le 18 avril 1918. Il part aux armées le 23 mai 1918 et est nommé caporal le 28 août 1918. Il est nommé sergengt fourrier le 18 février 1919. Il possède un certificat de bonne conduite. Il est plassé en sursis d'appel au titre de cultivateur à Sennevières, décision du général commandant la 9e région du 18 août 1919. Parti en sursis le 1er octobre 1919. Il est mis en congé illimité le 2 octobre au 10e échelon N° 649 du dépot mobilisateur du 68e Régiment d'infanterie.

     Campagnes : 
           Du 09 janvier 1916 au 22 octobre 1916 : intérieur (simple)
           Du 23 octobre 1916 au 7 avril 1918 : aux armées.
           Du 8 avril 1918 au 23 mai 1918 : intérieur (simple).
                 Le 18 avril 1918, il est évacué blessé pour fatigue.
           Du 24 mai 1918 au 30 août 1919 : aux armées.
                 Le 28 août 1918, il devient caporal.
                 Le 18 février 1919, il devient sergent fourrier.
                 Le 24 juin 1919, passe au 95e Régiment d'infanterie
           Du 31 août 1919 au 1er octobre 1919 : intérieur (simple).

          Il possède une citation :
                 Cité à l'ordre du régiment N)187 du 2 décembre 1918 "Caporal d'une rare bravoure pendant les attaques du 26 septembre au 9 octobre 1918. A emmené d'une façon remarquable son escouade de fusiliers mitrailleurs à l'assault des positions ennemis. Porté à découvert dansun endroit très battu et par son tir très précis a largemement contriibué à l'échec d'une contre attaque ennemie le 29 septembre 1918".
                 Croix de guerre.


          En 1917, il résidait à Sennevières.

          Le 20 novembre 1919, il se marie avec Richard Eugénie Marie (1902 Sennevières - ). Nous savons qu'ils ont eut au moins deux enfants : Antoine ou Antony (1922 Sennevières - ), Antoinette (1931 Sennevières - )

          En 1921, il résidait à Sennevières, aux Penêts en tant que propriétaire avec Richard Marie, son épouse.

          En 1926, il résidait à Sennevières aux Penêts avec son épouse Eugénie Marie et son fils Antoine et trois domestiques.

          En 1931, il résidait à Sennevières aux Penêts, avec son épouse Eugénie Marie, son fils Antony, sa fille Antoinette, il n'avait plus de domestique.

          En 1936, il résidait à Sennevières, aux Penêts, avec son épouse Eugénie Marie, Antoine ou Antony ou René (1922 - ), Antoinette et deux domestiques.

          Il participe à la seconde guerre mondiale.

          Il est décédé le 11 février 1956 à Sennevières.

 
 
 



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