AUGER Auguste Constant :
Né le
26 septembre 1873 à Saint Quentin, aux Rotis. Il était garde forestier aux Eaux et Forets.
Fils de Auger Pierre (1835- ), cantonnier forestier et de Auvray Marie Victorine (1840 - DCD avant 1893), domiciliés à Saint Quentin en 1893. Il avait une soeur Zulma Aimé (mariée à Daumain Ernest Constant le 26 novembre 1884 à Saint Quentin sur Indrois).
En 1893, il résidait à Saint Quentin.
Le 16 novembre 1894, il rejoint son corps en tant que soldat de 2e classe et devient caporal le 26 septembre 1896. Il est envoyé en congé le 18 septembre 1897 en attendant son passage dans la térritoriale. Il possède un certificat de bonne conduite. Le 1er octobre 1897, il passe dans la réserve de l'armée active.
En 1897, il résidait à Beaulieu les Loches.
Le 29 novembre 1897, il se marie à Ferrière sur Beaulieu avec Lorillou Marie Victorine (24 octobre 1876 à Ferrière - ), lingère. Ils ont pour enfants Thérèse (1900 Beaulieu - ) et Fernand (1907 Sennevières - ).
Du 27 avril 1900 au 23 septembre 1900, il effectue une période d'exercices dans le 68e Régiment d'infanterie.
Du 21 août 1903 au 20 septembre 1903, il effectue une seconde période d'exercice dans le 68e Régiment d'Infanterie.
Le 3 juin 1905, il est classé dans les affectations spéciales de la 9e région en qualité de garde des forêts à Sennevières.
Le 1er octobre 1907, il passe dans l'armée territoriale.
En 1907, il résidait à Sennevières.
En 1911, il résidait à Sennevières, aux Moreaux avec sa femme, leur fille Thérèse, leur fils Fernand.
Il appartenait à la classe 1893 avec pour matricule le N° 242, il appartenait à la territoriale. Il est mobilisé par le décret du 1er août 1914 et possède une affectation spéciale. Il est affecté à la 9e compagnie de chasseurs forestiers dont le lieu de rassemblement est Tours. Il est arrivé et incorporé le 3 août 1914. Il est est mis à la 8e du Génie de l'intérieur pour les centres d'applications de bois en excécution des ordres N°6440 2/1 et 16411/1 en date des 16 novembre et 27 décembre 1915. Il est dirigé le 31 décembre 1915 sur la chefferie d'Orléans. Il est remis à la disposition des eaux et forêts (décision du général commandant en chef en date du 10 mars 1916).
Il est libéré du service militaire le 1er juin 1921. En 1921, il résidait à Sennevières, aux Moreaux, avec sa femme, son fils Fernand, sa fille Thérèse et son mari Jabveneau Auguste*.
En 1926, il résidait à Sennevières, aux Moreaux, avec sa femme et son fils Fernand.
En 1931, il résidait à Beaulieu les Loches, rue Basse, avec son épouse.
En 1936, lors du recensement seulement sa femme apparaissait à Beaulieu les Loches.
Il décède le
26 février 1936 à Beaulieu les Loches, à 63 ans.